Il est compréhensible dans une société de consommation, telle que la nôtre, que certains produits s’éclipsent des étals ou s’écoulent à des prix exorbitants au point de casser la tirelire. Dès lors, tout le monde s’accorde à dire que la pénurie et la spéculation sont en passe de devenir un sport national.
C’est aberrant de former des techniciens, dans une spécialité pourtant très sollicitée, qui ne trouvent pas d’emploi dans le secteur public.
Alors que le propriétaire du duplex dévasté par l’explosion s’est vu attribuer un nouvel appartement comme mesure d’urgence, les autres familles victimes attendent toujours la concrétisation des promesses du wali.
Le terrible drame qui a secoué la ville de Bordj Bou Arréridj, au sixième jour du mois de Ramadhan, continue d’alimenter les débats et de provoquer des réactions, mais surtout susciter un énorme élan de solidarité manifestée par une population qui s’est sentie vraiment touché par cette dure épreuve vécue par la famille Hammouche, ayant perdu dix de ses membres, et toutes les victimes parmi les voisins.
La ville de Bordj Bou Arréridj a été secouée, dans la matinée de jeudi, par une forte explosion, entendue à des kilomètres à la ronde. Alors que la cité des Arcades, située dans la partie ouest de la ville, sur l’axe menant vers l’autoroute Est-Ouest, en direction d’Alger, commençait à connaître une certaine animation avec l’ouverture des boutiques en cette journée ensoleillée du mois de Ramadhan, une forte déflagration est survenue vers 9h30 dans un quartier de cette cité plus connu par «Les Arcades».
Alors que des jeunes issus de l’échec scolaire prennent leur destin en main, en faisant de cette titubation un tremplin pour mieux bondir, d’autres, à peine sortis de l’enfance et rongés par l’oisiveté, basculent dans la délinquance en s’adonnant à la drogue, aux vols, agressions et autres fléaux, pour se transformer en «grenades dégoupillées».
Seulement 150 enfants autistes sont déclarés atteints, dont 87 sont scolarisés, sur une estimation de quelque 800 cas cachés dans la wilaya de Bordj Bou Arréridj, par crainte d’être diagnostiqués, a indiqué à El Watan Ameur Salah, président de l’association des autistes de la wilaya, en jugeant que le dépistage élargi avec une meilleure prise en charge précoce est donc de mise avant qu’il ne soit trop tard. «Nous sommes marginalisés et ignorés ; a comme vous pouvez le constater, il n’y a pas grand monde dans la salle, pourtant nous avons adressé plusieurs invitations, mais sans écho. Ils sont tous partis avec le wali en tournée dans la daira de Djaâfra et qui a délégué la médiatrice administrative pour le représenter», nous dit-il lors de la journée mondiale de sensibilisation à l’autisme, tenue, jeudi, à la salle Bachir Ibrahimi et animée par des experts du domaine. «L’autisme n’est pas une maladie, mais un trouble du neuro-développement d’origine inconnue. D’où cette journée qui consiste à sensibiliser en vue de corriger cette anomalie comportementale, caractérisée par l’hyperactivité et l’incohérence des mouvements chez l’enfant autiste.
Alors que beaucoup remuent ciel et terre à la recherche d’un job, ne serait-ce que pour subvenir à leurs propres besoins et éviter de vivre aux crochets des parents, une petite entreprise familiale, spécialisée dans la pâtisserie orientale et le fast-food, émerge à la cité Abdelmoumène, ex-Lagraphe, au centre-ville de Bordj Bou Arréridj.
Après plus de deux ans de confinement et de restrictions drastiques, liés à la pandémie, l’association culturelle Numidia organise du 26 au 31 mars des journées de théâtre pour enfants au palais de la culture Mohamed Boudiaf. Une bouffée d’oxygène et une écluse qui s’ouvre au grand bonheur des écoliers venus des quatre coins de la wilaya, qui ont déferlé comme un torrent sur une terre aride.
Quatre personnes – le père, la mère et deux enfants – ont été tuées sur le coup et deux fillettes de la même famille ont été blessées dans un accident grave survenu ce jeudi vers 19h30 au point kilométrique 24 à hauteur de Metouâch sur la RN45, reliant Bordj Bou Arréridj à M’sila.
L’opération, qui touchera 130 villages dans 11 communes, a un intérêt majeur pour atténuer l’impact des phénomènes naturels destructeurs.
A cheval entre les wilayas de Bordj Bou Arréridj et M’sila, la localité d’El Medjaz, distante de 13 km du chef-lieu de la commune d’El Euch, est en perpétuelle quête de sortir de son enclavement.
Après la finalisation des formalités administratives et la désignation de l’entreprise de réalisation, les travaux de réhabilitation des oueds traversant la ville de Bordj Bou Arréridj du Nord au Sud ont été lancés la semaine dernière.
Même les objets de mémoire n’ont pas échappé au vol de la part des bandes de délinquants pour les revendre aux commerçants de la ferraille. Cela s’est passé récemment dans la commune d’Ain Taghrout, située à 90 km à l’est de Bordj Bou Arréridj.
Pour ce spécialiste, quand une personne subit une charge virale, il faut attendre entre 3 et 6 jours pour savoir si oui ou non elle est atteinte, tout en l’isolant pendant 4 ou 5 jours.
Avocate depuis cinq ans, la jeune Nouhad Lazizi s’est résolue à mettre les pieds dans l’arène politique pour occuper le poste de la première magistrate de la commune de Sidi Brahim, sous la bannière du Front des forces socialistes (FFS).
Dans le même volet, 23 mini-zones situées dans 13 communes de la wilaya, sur une superficie totale de 116 hectares, ont été créées pour l’implantation des nouveaux projets de PME.
La visite fait suite au déplacement des représentants de Condor en juin 2021 en Côte d’Ivoire pour la signature d’un contrat de distribution dans ce pays, incluant les pays de l’Afrique de l’Ouest.
Comme chaque année depuis 2972 ans, Yennayer, ce qui signifie en berbère le premier mois de l’année, pointe son nez en cette période correspondant au 12 janvier. Une date pour interpeller, par essence, chaque individu sur son bilan annuel en vue d’améliorer ses performances à l’avenir, avant de chapeauter la fête par un dîner convivial autour d’un repas copieux et parfois réconciliateur.
Les habitants de la cité des 680 logements souffrent des odeurs et des marécages provoqués par l’éclatement d’un égout d’assainissement d’un bloc d’HLM et demandent aux organismes concernés d’agir.