La Maison-Blanche ne jongle pas qu’avec des problèmes politiques, mais aussi canins, alors que l’un des bergers allemands du couple Biden est montré du doigt pour avoir mordu à plusieurs occasions, au point de devoir être dressé à nouveau.
Derniers bambous français pour Yuan Meng : le premier panda né en France en 2017 a quitté mardi, sous la bruine et les vivats de ses admirateurs, le Zoo Parc de Beauval, dans le centre du pays, pour rejoindre la Chine.
Non aux quotas liés à la couleur de peau. Une nouvelle loi visant à accroître l’emploi des Noirs en Afrique du Sud suscite la colère d’entrepreneurs qui craignent la perte de postes pour les travailleurs qualifiés.
Trevor Francis, premier joueur anglais à 1 million de livres de l’histoire, est «décédé en Espagne d’une crise cardiaque» lundi à l’âge de 69 ans, a annoncé un porte-parole de sa famille.
Abbott, a défié lundi le ministère de la Justice, qui a menacé de poursuivre son Etat en justice au sujet d’une barrière flottante sur le Rio Grande destinée à empêcher les traversées de migrants en provenance du Mexique.
Deux chimpanzés, qui s’étaient échappés d’un zoo de la ville colombienne de Pereira (centre-ouest), ont été abattus par les forces de l’ordre, a annoncé lundi la police.
Les autorités norvégiennes ont fait état lundi d’une attaque informatique contre la plateforme de 12 ministères, une opération d’origine encore indéterminée qui a provoqué l’ouverture d’une enquête.
Neuf fusillades de masse ont eu lieu aux Etats-Unis au cours du week-end dernier, portant le total à plus de 400 depuis le début de l’année, selon la Gun Violence Archive, un groupe américain qui répertorie chaque incident de violence armée.
Fenêtre sur l’Asie, le port de Manzanillo sur la côte Pacifique dans l’ouest du Mexique se trouve en première ligne dans la lutte contre l’import-export des drogues, dont la dernière en date, le fentanyl, source de tensions entre les Etats-Unis et la Chine.
Au-dessus de l’île, le ciel était couvert d’une épaisse fumée et des collines couvertes de végétation calcinée. Kelly Squirrel, une touriste britannique, a indiqué que la police avait ordonné aux personnes de son hôtel de Rhodes d’évacuer.
En Indonésie, des rizières luxuriantes de la région de Timbulsloko ne restent qu’un réseau de promenades en pierre à la surface des eaux qui les ont englouties, illustrant le désastre que le changement climatique pourrait provoquer pour les communautés côtières partout dans le monde.
Hors de contrôle», «sans précédent», «gigantesques» : chaque année, les incendies de forêt en Europe sont plus violents et s’étalent sur une plus longue période, à l’instar de ceux sur l’île grecque de Rhodes, qui ont entraîné une opération d’évacuation de touristes sans précédent.
Le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (Giec) de l’ONU, dont les rapports établissent le consensus scientifique sur le dérèglement climatique, élira cette semaine à Nairobi le scientifique qui présidera ses travaux pour le gros de la décennie en cours, avec peut-être la première présidente de son histoire.
Au moins 26 personnes sont mortes et quarante sont portées disparues en Afghanistan après une crue soudaine causée par des pluies torrentielles, a déclaré dimanche un porte parole du gouvernement.
Un deuxième Tour de France tend les bras à Jonas Vingegaard à Paris après une 110e édition d’abord rythmée par son duel acharné avec Tadej Pogacar, puis écrasée par la toute puissance du Danois. Jonas Vingegaard, nanti d’un avantage de 7 minutes et 29 secondes devant son dauphin Pogacar - plus large écart depuis 2014 - veillera seulement à rester sur son vélo pour arriver sain et sauf à Paris. La manière autoritaire avec laquelle le leader de Jumbo-Visma a assommé le Tour 2023 tranche avec sa silhouette fluette et son caractère timide. A 26 ans, l’ancien employé sur un marché de poisson s’est affirmé, mis en confiance par sa victoire de l’an dernier. Même s’il reste un homme et un coureur foncièrement discret qui fuit la lumière et les mondanités. Mais sur le bitume, le Danois a mis tout le monde d’accord dans un Tour de France extrêmement dur, tant par le profil du parcours que par la vitesse avec laquelle le peloton l’a avalé. Les deux premières semaines ont été aussi passionnantes que trompeuses. Dès la première étape à Bilbao, les deux favoris se sont engagés dans un bras de fer qui a longtemps été tellement serré qu’on pensait à un moment qu’il allait se régler dans l’octogone des Champs-Elysées. Feu, les inséparables Les deux hommes se sont rendu coup pour coup. Vingegaard a remporté la première manche à Marie-Blanque. Pogacar la deuxième à Cauterets-Cambasque, suivis de quelques matches nuls mémorables, dans le Puy de Dôme, dans le Grand Colombier ou à Morzine, entre deux champions qu’on appelait alors «les inséparables». Et puis non. Epuisé après une préparation tronquée à cause de sa fracture au poignet fin avril, Pogacar a rendu les armes en deux temps. Lors du chrono de Combloux mardi. Puis le lendemain dans l’étape-reine vers Courchevel où le Slovène a connu la pire défaillance de sa vie, résumée par ces quelques mots: «I’m gone, I’m dead» («J’ai lâché, je suis mort»). L’intensité du duel a alors laissé place au temps du soupçon lorsque Vingegaard a dû répondre tous les jours à des questions concernant le dopage, ressurgies sans aucun élément tangible mais inévitables dans un sport longtemps gangréné par les affaires. «Je ne prends rien que je ne donnerais pas à ma fille» de deux ans, a assuré le Danois, le patron de son équipe, Richard Plugge, ajoutant même que son coureur rechignait à prendre «du paracétamol». Pour expliquer la domination de son champion, Plugge a renvoyé à la fois aux supposées insuffisances de la concurrence, en l’occurrence les coureurs de l’équipe Groupama-FDJ qui boiraient «des grandes bières» pendant les journées de repos, ce que le manager français Marc Madiot a démenti avec véhémence. «Les meilleurs en tout» Mais aussi, en creux, la perfection de leurs propres méthodes, en matière de nutrition, d’entraînement, de matériel, etc. «Ils sont les meilleurs en tout» a assuré Tom Dumoulin, leur ex-champion devenu consultant. «Je ne suis pas beaucoup plus fort que l’an dernier mais j’ai continué à progresser et je n’ai connu, contrairement à 2022, aucun problème de santé pendant le printemps», a également insisté Vingegaard. Son triomphe consacre la victoire d’une stratégie entièrement axée sur le Tour, avec de longs stages en altitude et le Critérium du Dauphiné comme unique tremplin, pendant que Pogacar ferraillait sur les fronts des classiques italiennes et belges. «J’aime courir sur tous les terrains. Cela correspond à ce que je suis», a expliqué le Slovène, vainqueur notamment de Paris-Nice, du Tour des Flandres, de l’Amstel Gold Race cette saison et qui réfléchit à “de nouveaux défis” pour l’année prochaine. Ce qui fait dire à Vingegaard en personne que «Pogacar est le meilleur coureur du monde, tellement complet». Mais dans le Tour, pas de doute : le meilleur, c’était bien le Danois. AFP
Plus de 30 000 personnes ont dû fuir les flammes sur l’île de Rhodes, écrasée comme toute la Grèce sous une fournaise favorisant les incendies, pendant que la canicule continue aussi sa progression dans le sud des Etats-Unis.
Tony Bennett, le dernier des grands crooners américains, apprécié pour sa personnalité chaleureuse et sa constance sur plus de sept décennies, est mort vendredi à l’âge de 96 ans, a-t-on appris auprès de son agent. «Il s’est éteint aujourd’hui à l’âge de 96 ans dans sa ville natale de New York», a déclaré à l’AFP Sylvia Weiner, son agente. Il souffrait de la maladie d’Alzheimer, un diagnostic qui remontait à 2016.
La Birmanie a enregistré de nouvelles violences ces derniers jours entre l’armée et les miliciens qui combattent la junte, des habitants faisant état samedi de 14 personnes tuées dans un même village, dont des civils, lors d’un raid militaire la veille.
En entrant sur l’autoroute M11 au nord de Londres, le petit SUV propose au conducteur de lâcher le volant. Il avance seul à 100 km/h, freine derrière un camion, avant de reprendre tranquillement sa route, bien au milieu de sa voie.
Cuissardes enfilées jusqu’à la taille et yeux rivés sur son GPS, la biologiste Meline Brendel déambule dans l’eau stagnante entre ces roseaux de deux mètres, là où, il y a quatre ans, s’étalait encore un champ. Elle plante des piquets et note consciencieusement les niveaux d’eau: bas, moyen et haut.