#Smartphones
Numérisation, investissement dans les smartphones, énergies renouvelables, barrage vert : Les instructions de Tebboune
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a présidé, hier, une réunion du Conseil des ministres consacrée à un projet de loi relatif aux wakfs et à des exposés concernant plusieurs secteurs, a indiqué un communiqué de la présidence de la République.
Smartphones : Vers la relance de la fabrication locale
Le thème de la régulation et de l’organisation du marché des smartphones en Algérie à travers l’examen de la possibilité de relancer leur fabrication locale a été au centre d’une séance de travail conjointe, présidée au début de la semaine à Alger par le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, le ministre de la Poste et des Télécommunications, Karim Bibi Triki, et le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, Tayeb Zitouni, indique un communiqué du ministère de l’Industrie.
Marché des smartphones : Realme dépasse les 200 millions d'expéditions mondiales
Realme, la marque de smartphones à la croissance la plus rapide au monde, a annoncé que ses expéditions de smartphones dans le monde ont dépassé les 200 millions d’unités.
Des pédagogues et des psychologues alertent : L’utilisation excessive des smartphones nuit à la santé mentale et physique des élèves
Des pédagogues et des psychologues ont alerté sur les risques de l’utilisation excessive des smartphones sur la santé mentale et physique des élèves et son impact sur leur scolarité.
Tebboune gèle les nouvelles taxes
Le président Abdelmadjid Tebboune, qui a présidé hier un Conseil des ministres, a décidé de supprimer les nouvelles taxes et les redevances prévues dans la loi de finances 2022. Il s’agit, entre autres, des taxes sur l’importation des smartphones et autres matériels informatiques.
L’importation du matériel informatique et des Smartphones surtaxée : Coup dur pour la numérisation
Le cumul des taxes et impôts appliqués à l’«importation» des téléphones portables et tablettes est de l’ordre de 133%, donc une valeur plus importante que le prix du produit lui-même, les composants des micro-ordinateurs sont taxés à hauteur de 60%. Plusieurs intervenants dans le secteur n’ont cessé, depuis quelques années déjà, d’évoquer cette surtaxation qui ne va pas de pair avec la volonté exprimée d’aller vers cette économie de la connaissance ou du numérique.
