Si beaucoup de choses ont été faites sur le plan juridique pour lutter contre le phénomène des violences faites aux enfants et adolescents en Algérie, à travers notamment l’adoption d’une loi relative à la protection de l’enfant mais aussi l’adhésion du pays aux conventions internationales, il est important désormais de mettre en place un réseau national doté de références permettant d’intervenir rapidement, en commençant au niveau local à travers la commune et de façon coordonnée entre l’ensemble des acteurs, a déclaré le Pr Terranti, président de la Société algérienne de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent et des professions associées (SAPEAPA) lors de l’ouverture du 2e congrès de l’association, consacré aux maltraitances à l’égard des enfants et adolescents, tenu jeudi et vendredi.