A la cité des 5000 logements AADL d’El Karouche, dans la commune de Réghaia, le courant électrique est instable. «L’alimentation en énergie électrique n’est jamais permanente. Il arrive que le courant se coupe cinq à six fois dans une même journée», déplore un habitant de la cité.
Des bus qui assurent la navette entre la ville de Réghaia et la localité d’Ouled Hadadj sont dans un état de délabrement tel, que l’on se demande par quel miracle peuvent-ils encore circuler. Ces bus, qui ont 40 d’âge pour la plupart, transportent les voyageurs dans des conditions qui rappellent celles des expéditions du siècle dernier.
A Réghaïa, les bus qui s’arrêtent anarchiquement sur le bas-côté de la route créent d’énormes embouteillages, particulièrement à l’entrée de la ville, où les arrêts de bus ont été installés dans un endroit qui ne s’y prête pas.
A Réghaia, les bus qui s’arrêtent anarchiquement sur le bas côté de la route créent d’énormes embouteillages, particulièrement à l’entrée de la ville, où les arrêts de bus ont été installés dans un endroit qui ne s’y prête pas.
L’insécurité qui règne dans les nouveaux pôles d’habitat mine le cadre de vie des habitants. A Réghaïa, la cité des 5000 logts est en proie à ce phénomène.