Le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, a affirmé, jeudi, que «nous avons pris acte» des «réactions des représentants du colonialisme et du néocolonialisme», allusion aux réactions de responsables français à propos d’un couplet de l’hymne national.
Il a fallu une question à la ministre Catherine Colonna pour que la décision algérienne sur le couplet manquant de Qassaman fasse polémique. Jamais en France on n’aura aussi bien compris l’hymne national algérien.