Le 13 mars, l’Algérie a pris la décision d’interdire l’exportation des denrées alimentaires qu’elle importe afin de préserver les réserves destinées à alimenter le marché national.
«Des produits sont en souffrance au niveau des ports et des frontières, tels que les jus et les boissons gazeuses», nous apprend Ali Hamani, président de l’APAB, donnant l’exemple de grandes quantités de boissons Ifri toujours bloquées. Selon lui, «même le navire qui devait acheminer la cargaison vers l’île Maurice est reparti vide».
«Le gouvernement est appelé à prendre toutes les mesures et appliquer les procédures visant à faire éviter aux citoyens l’impact de la flambée vertigineuse des prix sur les marchés internationaux.»