Un rassemblement a eu lieu dimanche pour demander que le nom de la rue du 6e arrondissement rendant hommage à celui qui fut une figure de la colonisation de l’Algérie par la France au XIXe siècle soit retiré. Une possibilité déjà envisagée par la mairie écologiste.
Trente-deux rue des Tables Claudines. C’est là à Lyon, que le groupe Carte de séjour, créé en 1980 dans la banlieue, à Rillieux-la-Pape, trouva un lieu de répétition qu’il louait. Pour payer le loyer, il organisait des fêtes devenues «cultes» dans le souvenir de ceux qui y ont assisté.
Le journal a puisé dans ses archives et donné la parole à des témoins et des spécialistes locaux sur cette époque. La journaliste Nathalie Garrido, qui a contribué à la réalisation du livre Lyon Algérie 1954-1962. Comment le conflit a changé la région lyonnaise, explique que «lorsque la guerre de décolonisation éclate en 1954, Lyon accueille (déjà) une importante communauté algérienne».
La 22e édition du festival Cinémas du sud prévoit un focus sur le cinéma algérien, avec la projection de trois longs métrages de fiction lors de cette manifestation qui se tiendra du 27 au 30 avril à Lyon (France).
L’attaquant international algérien Islam Slimani a expliqué, sur son transfert cet hiver au Sporting Lisbonne (Div.1 portugaise de football), qu’il s’est senti plus désiré au Portugal qu’à Lyon, tout en rendant, néanmoins, hommage à son ancien club, l’Olympique lyonnais (Ligue 1/ France) avec lequel il avait passé une année. «Je reviens au Sporting parce que les supporters m’aiment et parce que le club m’aime.