Composés de vice-présidents, des présidents de commissions, des chefs de groupes parlementaires et de députés et sénateurs, les groupes de travail mis sur pied au Conseil de la nation et à l’Assemblée populaire nationale (APN) sont chargés de formuler des propositions et des observations visant l’enrichissement de ces documents.
Pendant que la famine s’installe à Ghaza où la population continue d’être la cible des bombardements sionistes incessants, faisant près d’une centaine de morts chaque jour, Washington vient d’autoriser le transfert de près de 2,3 milliards de dollars d’armement militaire vers l’Etat hébreu. A Londres, un groupe d’avocats et de juristes a «averti» le gouvernement britannique sur le fait qu’Israël viole le droit international et conseillé de «cesser immédiatement» toute vente d’armes à Tel-Aviv.
Les juristes estiment, dans une déclaration commune, que l’arrêt de la Cour internationale de justice (CIJ) est une «rupture avec 75 ans d’impunité dont avait jouit le seul membre des Nations unies enfanté par l’organisation internationale (Israël, ndlr)».