L es pays en développement ont affiché leur déception hier à l’issue des travaux de la conférence de l’ONU en Azerbaïdjan. Le chef des négociateurs du groupe africain, le Kenyan Ali Mohamed, a regretté un engagement financier «trop faible» et «trop tardif» après l’accord prévoyant que les pays riches fournissent 300 milliards de dollars par an de financement climatique aux pays en développement.