Des embouteillages à longueur de journée. Des automobilistes contraints de passer des heures au volant. Un stress au quotidien pour ces automobilistes «obligés» d’utiliser leurs véhicules pour se rendre au travail, déposer leurs enfants à l’école ou pour tout autre déplacement. Les solutions adoptées jusque-là pour décongestionner le trafic routier n’ont pas donné les résultats escomptés. Mise en place des feux tricolores, nouveaux axes routiers et nouvelles lignes de transport urbain sont parmi les mesures mises en œuvre. Mais la capitale suffoque toujours !
Les projets routiers en cours de réalisation pour résorber la congestion du trafic à Alger enregistrent des avancées notables, a affirmé un responsable au ministère des Travaux publics et des Infrastructures de base.
La circulation automobile a été interrompue, durant des heures, hier, sur l’axe autoroutier allant de Djebahia à Lakhdaria, à l’ouest de Bouira.
Après cinq ans de blocage et maintes réévaluations du marché, le projet d’évitement de la ville de Boumerdès commence enfin à voir le bout du tunnel.
Lors de sa tournée dans la ville de Chlef, dimanche, le wali Attalah Moulati s’est enquis des travaux d’aménagement du tronçon de la RN4 traversant le centre-ville. Il a inspecté les deux nouveaux ronds-points réalisés sur cette voie, en particulier devant le marché de gros des fruits et légumes et entre deux les trémies de haï Bensouna et de l’ex-Creps.
Des automobilistes préfèrent stationner leurs véhicules dans des parkings payants aménagés au niveau de certaines gares de train et à proximité de bouches de métro. Un bon réflexe susceptible d’atténuer la pression sur le centre d’Alger et bien d’autres grands centres urbains.
A Réghaia, les bus qui s’arrêtent anarchiquement sur le bas côté de la route créent d’énormes embouteillages, particulièrement à l’entrée de la ville, où les arrêts de bus ont été installés dans un endroit qui ne s’y prête pas.