La toute première semaine du climat pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, qui s’est déroulée à Dubaï du 28 au 31 mars, était la première occasion pour les gouvernements, les entreprises du secteur privé, les institutions financières et les organisations de la société civile de se rencontrer et de faire avancer les engagements pris lors de la Conférence des Nations unies sur le changement climatique (COP26) en novembre 2021.
Le réseau MED-Amin, qui traite les questions de sécurité alimentaire en Méditerranée et de transparence sur les marchés agricoles, vient de publier le premier bulletin de la saison. Il fait état des conditions assez «désastreuses» au Maroc et assez préoccupantes en Algérie, notamment quant à la capacité de produire des céréales à moyen terme.
Le GIEC vient de publier le troisième volet du même rapport d’évaluation. Ce rapport fait suite aux deux premiers sur le diagnostic et les conséquences. Le troisième volet porte plutôt sur les scénarios d’atténuation visant à limiter le réchauffement climatique et les impacts de l’élévation de la température. Décryptage avec Samir Grimes, expert en environnement et changement climatique. Onze messages qu’il faut retenir, selon l’expert.
Le potentiel naturel algérien est menacé par les changements climatiques. L’analyse de l’évolution climatique en Algérie montre clairement que les effets de ce bouleversement climatique deviennent de plus en plus visibles.
4. Les impacts et les risques climatiques deviennent de plus en plus complexes et difficiles à gérer. Plusieurs aléas climatiques se produiront simultanément. Les risques climatiques interagiront avec d’autres menaces pour aggraver le risque global. Les risques se répercuteront d’un secteur à l’autre et d’une région à l’autre.
le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, les coupables sont les plus grands pollueurs du monde, «qui mettent le feu à la seule maison que nous ayons».