Pour le président Tebboune, le dialogue national exige «le calme et la sérénité» et doit se tenir loin «de toute cacophonie», «de l’agitation» et «loin d’un quelconque marchandage».
Selon bon nombre d’observateurs, Abdelmadjid Tebboune devrait évoquer de nombreuses questions internes et externes et des sujets d’ordre économique, social, sécuritaire, mais aussi politique, notamment le lancement du dialogue national inclusif, promis en septembre de l’année en cours.