Longtemps dédaignée par les citoyens, la collecte et la récupération de déchets ou d’objets en aluminium, en plastique, en cuivre ou en fer, attire de plus en plus d’adeptes à travers les villes et villages de la vallée de la Soummam et des montagnes environnantes.
La production de fourrage accuse un net recul dans la vallée de la Soummam. Le changement climatique est passé par là. La sécheresse endémique, qui étend son emprise même sur la saison hivernale, a eu raison de tous les parcours de jachère, lesquels sont étroitement dépendants de l’aléa climatique.
La station d’épuration (STEP), en cours de réalisation à proximité de la ZAC de Taharacht, dans la commune d’Akbou, enregistre un taux d’avancement de près de 80%. C’est ce que nous avons appris ces derniers jours d’un responsable de l’Office national d’assainissement (ONA), l’organisme en charge du management de ce projet. «Le chantier a connu plusieurs interruptions dues à certains aléas, mais surtout à la défaillance des entreprises en charge des travaux.
La vente d’eau potable, du moins présentée comme telle, a pris un essor sans précédent au cours de ces dernières années dans la vallée de la Soummam. A l’évidence, le filon fait de plus en plus d’émule. Les vendeurs d’eau ont conquis toutes les localités.
La biodiversité fait face à mille périls dans la vallée de la Soummam. La richesse faunistique et floristique s’appauvrit à vue d’œil. Les atteintes sont multiples et multiformes.
Contrairement aux années précédentes, les vergers agrumicoles situés dans les plaines de la vallée de la Soummam sont très peu infestés par les larves de la mouche méditerranéenne.
Oiseleurs, collectionneurs et simples dilettantes s’en donnent à cœur-joie, en lui livrant une traque sans merci. Un braconnage en règle qui participe au déclin des colonies de chardonnerets
La fin d’«Ikechachen», une période du calendrier agraire correspondant à la dernière décade du mois de novembre, signe le début de la cueillette des olives dans la vallée de la Soummam.