Comme à chaque mois de Ramadhan, la demande sur le lait subventionné a connu une légère hausse ces derniers jours dans plusieurs localités de la wilaya de Boumerdès.
Le 14 mars, Mahmoud Abbas a nommé Mohammad Moustafa, un de ses proches conseillers, au poste de Premier ministre. Une nomination vivement critiquée par le Hamas, soutenu par le Jihad islamique et le FPLP. Le Fatah riposte avec véhémence aux attaques du Hamas. Ce regain de tension ravive un vieux contentieux qui remonte aux élections législatives de 2006, qui ont conduit à une profonde fracture au sein d’un corps politique palestinien déjà éprouvé par les affres de l’occupation. Face aux enjeux cruciaux de l’après-7 octobre, les Palestiniens n’ont d’autre choix que de s’unir…
Malgré l’escalade, les deux parties impliquées – Israël et le Hezbollah – semblent vouloir éviter une guerre ouverte, conscientes des conséquences désastreuses que cela pourrait entraîner.
Prévu hier devant la chambre criminelle près la cour d’Alger, le procès en appel des auteurs présumés de l’assassinat, le 11 août 2021, du jeune Djamel Bensmain, à Larbaa Nath Irathen (Tizi Ouzou), a été renvoyé, à la demande des avocats, à la prochaine session. La décision a suscité la colère des accusés en détention et la levée de l’audience dans une ambiance très tendue.
Plus on s’approche de la fin du championnat de Ligue 2, plus la tension monte dans les stades. L’enjeu est grand aussi bien pour l’accession que pour le maintien dans la mesure où la décantation ne s’est pas faite et la lutte est très serrée dans les deux groupes.
Le troisième jour du Ramadhan semble avoir enregistré une certaine «retenue» chez les consommateurs n’ayant plus cette frénésie des achats, ce désir kafkaïen de gonfler des chaînes pour s’acquérir des produits déjà en leur possession…
Déclarations alarmistes du commissaire européen Borell, annonçant un risque imminent d’effondrement financier. Réactions modérées de la Tunisie, insistant sur son indépendance et sa souveraineté nationale. Les dessous et les perspectives d’une crise complexe entre la Tunisie et l’UE.
Les autorités maliennes ont déclaré hier interdire la circulation de civils dans la zone frontalière avec la Mauritanie, où ont disparu un certain nombre de Mauritaniens début mars, rapporte l’AFP. Elles ont aussi annoncé l’ouverture d’une enquête par le tribunal militaire de Bamako.