Samira Negrouche reste l’une des meilleures poétesses algériennes de sa génération. Dans cet entretien passionnant, elle revient sur la parution de son anthologie J’habite en mouvement, de son amour pour Alger et de sa fascination pour certains poètes contemporains qui continuent à la bercer. Elle nous donne aussi une lecture éclairée de sa vision du monde.
La poètessse, auteure , traductrice et médecin Samira Negrouche sera, aujourd’hui, à partir de 14h, à la librairie Cheikh de Tizi-Ouzou pour présenter et dédicacer sa derniére anthologie intitulée «J’habite en mouvement», publié derniérement par la maison d’édition algérienne Barzakh.
La quarantaine à peine entamée et déjà une œuvre très dense. Depuis son très remarqué recueil Faiblesse n’est pas de dire, publié en 2001 chez Barzakh, Samira Negrouche se voue à son art avec la même persévérance.