Le handball algérien continue de manger son pain noir. Sa traversée du désert n’est pas prête de s’achever. L’épisode du limogeage du sélectionneur national, Salah Bouchekriou, en est la parfaite illustration. Jadis cité en exemple, le handball algérien a perdu son aura, son standing et en partie l’affection de ses nombreux admirateurs.
Le désormais ex-sélectionneur national de léquipe de handball (seniors hommes), Salah Bouchekriou qui a été limogé pour une «faute administrative» lors d’un court stage effectué en Arabie Saoudite, est sorti de son mutisme pour dénoncer les agissements arbitraires de la présidente de la FAHB et du manager général de l’équipe nationale, Rabah Gherbi : «Comment peut-on s’attaquer à ma personne sans être entendu ni en évoquant les raisons de cette décision prise par la FAHB», a expliqué Salah Bouchekriou, hier, lors de la conférence de presse tenue au siège du quotidien arabophone Al Fedjr. «C’est incroyable ! Le courant ne passait pas entre la présidente, le manager et moi-même.
A la grande surprise, le désormais ex-entraîneur national de handball, Salah Bouchekriou, n’a pas caché son indignation suite à son limogeage par la FAHB, pour une faute administrative.
A 35 jours de la vingt-sixième édition du Championnat d’Afrique des nations de handball 2024 (seniors messieurs), prévue en Egypte, du 17 au 27 janvier 2024, rien ne va plus entre l’entraîneur de l’équipe nationale de handball des seniors, Salah Bouchekriou, et la Fédération algérienne de handball (FAHB).