La Sous-secrétaire d’Etat américaine pour la Sécurité civile, la Démocratie et les Droits de l’homme, Uzra Zeya, a achevé, hier, sa visite en Algérie entamée dimanche dernier.
Sahara occidental, dernière colonie en Afrique», tel est le thème de la conférence tenue mercredi à «l’Espace Afrique» dans le cadre du programme culturel de la 27e édition du Salon international du livre à Alger (SILA).
Le régime du makhzen marocain a une nouvelle fois torturé à mort un militant sahraoui dans une prison à Laayoune occupée, dans les territoires du Sahara occidental occupés par le Maroc, des médias citant des sources proches de sa famille qui ont réclamé une enquête sur ce crime et appelé à traduire en justice ses auteurs, rapporte l’APS.
À Smara, dans les camps de réfugiés sahraouis, s’est ouvert le deuxième séminaire international de solidarité et d'échange culturel pour la paix au Sahara occidental, centré sur les luttes de libération des peuples opprimés.
Le représentant permanent de la République sahraouie auprès de l’Union africaine, Maa El Ainin Lakhal, a affirmé, dans une déclaration hier à l’APS, que le peuple sahraoui demeure fermement attaché à son droit inaliénable à l’autodétermination.
Si la décision de Macron de reconnaître la souveraineté de Rabat sur le territoire occupé du Sahara occidental s’apparente à un cadeau de la France fait à un pays ami et allié de longue date, c’est aussi et surtout un moyen pour Paris de se repositionner sur l’échiquier du continent africain.
L’occupation marocaine continue de faire chanter plusieurs pays dans l’objectif d’obtenir leur reconnaissance de sa prétendue souveraineté sur le Sahara occidental, exigeant de l’Union européenne (UE) de transgresser le droit international et de s’aligner sur la position marocaine, en contrepartie de l’ouverture des frontières douanières avec les enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla.
Le virage diplomatique opéré par l’Elysée à travers son soutien affiché au prétendu «plan d’autonomie» marocain au Sahara occidental pourrait être motivé par des informations sensibles obtenues à son insu par le Maroc, a indiqué le site d’information Afrik.com, soulignant que les critiques internationales se multiplient à ce sujet et Paris pourrait se retrouver isolé.
Décidément, Emmanuel Macron aime l’anarchie, le désordre. Il vient de le prouver encore une fois lors d’une visite au Maroc. Il a répété ce qu’il a dit dans une lettre adressée au roi Mohammed VI.
Dans un communiqué du ministère des Affaires étrangères, l'Algérie a décidé de retirer immédiatement son ambassadeur en France suite à la reconnaissance du plan d'autonomie marocain.
Le Collectif des défenseurs des droits de l’Homme au Sahara occidental (CODESA) a dénoncé, hier, «la pression et la répression continues exercées par les forces d’occupation marocaines contre les défenseurs des droits humains au Sahara occidental» occupé. Selon ce collectif, les forces d’occupation marocaines assiègent depuis une dizaine de jours, la maison du défenseur sahraoui des droits humains et ancien prisonnier d’opinion, Ali Salem Tamek, dans la ville occupée de Laâyoune.
Sur le Sahara occidental, une pléthore d’opinions d’universitaires, d’experts et de diplomates dans les chancelleries occidentales, et un afflux de visiteurs dans la région, ont émergé récemment, chacun à sa manière, tous enflammés par le désir d’une «solution» au conflit.
Le peuple sahraoui célèbre, aujourd’hui, le 48e anniversaire de la proclamation de la République sahraouie. Le 27 février 1976, au lendemain du départ du dernier soldat espagnol du territoire sahraoui, est annoncée à Bir Lahlou (territoires libérés), la naissance de la République sahraouie.
L’ambassade du Brésil à Alger a abrité hier la cérémonie de lancement de l’initiative brésilienne dans le cadre du Plan de réponse aux besoins des réfugiés sahraouis.
L’ambassade de la République du Brésil à Alger organisera aujourd’hui une cérémonie pour annoncer l’initiative brésilienne dans le cadre du plan de réponse aux besoins des réfugiés sahraouis (SRRP 2024-2025) des Nations unies.
Défenseur des causes sahraouie et palestinienne, Maître Gilles Devers, du barreau de Lyon, mène, depuis 2009, une rude bataille judiciaire pour faire condamner les dirigeants israéliens par la Cour pénale internationale (CPI) pour les crimes de guerre, contre l’humanité et le génocide commis à Ghaza. Au bout de la troisième plainte déposée le 9 novembre 2023, il se déclare «optimiste», parce que toutes les étapes de la procédure «ont enfin abouti» après «des rejets, du déni et du mépris». Dans l’entretien qu’il a bien voulu nous accorder, il revient sur les obstacles, la méfiance, le désespoir qui ont marqué plus d’une décennie de lutte juridique, mais aussi sur son «prochain combat», devant la CPI, pour le droit de retour de plus de 5 millions de Palestiniens à Jérusalem-Est, leur capitale, reconnue comme telle par le droit international.
L’Association des parents des détenus et disparus sahraouis a tenu les organisations humanitaires internationales pour responsables du génocide que commet l’occupant marocain contre le peuple sahraoui, appelant l’Etat espagnol à assumer toutes ses responsabilités envers son ancienne colonie, a rapporté hier l’APS, citant l’Agence de presse sahraouie (SPS).
Dans une interview qu’il a accordée, mercredi, à Atheer, la plateforme de la chaîne qatarie Al Jazeera, le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, s’est exprimé sur plusieurs sujets d’actualité régionale et internationale.
Le refus des autorités espagnoles de renouveler le titre de séjour à Aminatou Haïdar a été vivement dénoncé par plusieurs partis politiques en Espagne, y voyant «une décision politique», tandis que la militante sahraouie des droits de l'homme s'est dit victime d'un «complot hispano-marocain».
La société civile au Sahara occidental a appelé le Conseil des droits de l'homme (CDH) des Nations unies à rejeter la candidature du Maroc pour la présidence du CDH au titre de la session 2024 au vu de son bilan accablant en matière des droits de l'homme en tant qu'Etat occupant militairement le Sahara occidental et refusant de coopérer avec les instances onusiennes.