Durant toutes les guerres qu’ils ont connues depuis 1948, les Palestiniens ont fait preuve d’un attachement indéfectible à leur culture. Même pendant les pires épreuves sous l’occupation sioniste et les sièges les plus impitoyables, ils ont tenu à leur identité et leurs traditions.
Sur le plan humanitaire, les aides continuaient, hier, à se frayer difficilement un chemin vers le nord de l’enclave, pourtant le plus affecté par plus de 50 jours de bombardements intensifs. Le carburant, les médicaments et équipements médicaux, la nourriture et l’eau manquent toujours, alors que des pluies sont venues compliquer la situation sur le terrain.
Les combats de missiles et de roquettes entre l’armée israélienne et des groupes armés palestiniens de Ghaza ont repris hier après une nuit relativement calme en l’absence de percée des efforts de médiation égyptiens en vue d’un cessez-le-feu, rapporte l’AFP.