Un intérêt particulier est accordé à la réception de nouvelles infrastructures, l’intégration des enseignants et la nécessité d’un suivi rigoureux des chantiers.
L’un des scandales les plus flagrants de la gestion communale défaillante est celui des marchés de proximité flambant neufs qui sont aujourd’hui à l’abandon.
Les drames causés par les intoxications au monoxyde de carbone mettant en cause à chaque fois des défaillances ou un mauvais usage des appareils à gaz continuent de faire des victimes.
Les visiteurs venus se recueillir sur les tombes de leurs proches déplorent l’état dans lequel se trouvent les lieux, faute d’entretien et de nettoyage.
Le secteur est toujours à la traîne dans la wilaya, en dépit de la disponibilité des infrastructures et l’ouverture de nouvelles gares restées désespérément vides, malgré les milliards de dinars alloués par l’Etat.
Loin d’être un incident isolé, ce drame relance le débat sur la sécurité des chantiers dans la ville, notamment celui-ci, déjà pointé du doigt par les habitants de la cité 100 Logements de Kouba.
De nombreux moudjahidine de la wilaya d’Oum El Bouaghi se rappellent encore de la fameuse bataille de Chebka, appelée aussi bataille de Hoggas, par rapport au commandant de la zone 4, Mohamed Fantazi, dit Hoggas, qui y tomba au champ d’honneur aux côtés de 14 martyrs, après un affrontement acharné avec les troupes de l’armée coloniale française.
Des projets ont été inscrits pour l’exploitation des eaux traitées des stations d’épuration des communes de Ras El Oued, Aïn Taghrout, Aïn Tassera, El Hammadia et le chef-lieu.
Parmi les dizaines de lieux de concentration et d’exaction répartis sur les différentes régions du pays, le centre de torture de Hammam Madjzara dans la commune de Chréa à l’ouest de Tébessa témoigne encore de la cruauté de l’armée coloniale envers des Algériens sans armes.
Le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels à Jijel a organisé dimanche une rencontre de coordination pour le développement et la modernisation de la formation dans le secteur agricole destinée aux jeunes, a indiqué le directeur du secteur, Mohamed Halassi.
Les arrêtés d’attribution de 100 aides au logement rural ont été remis dimanche à leurs bénéficiaires dans la wilaya de Mila, issus de plusieurs communes, a indiqué le directeur du logement, Bilal Mezaïni.
Au village de Tarchiouine, dans la commune de Taxlent (wilaya de Batna), les habitants se remémorent encore dans les moindres détails les faits tels qu’ils lui ont été racontés par les survivants du massacre commis les 21, 22 et 23 mars 1959, en plein mois de Ramadhan à la grotte de Ghar Ouchetouh, dans la montagne à Taghit, où l’armée française avait tué 118 civils désarmés, principalement des femmes et des personnes âgées, en utilisant des gaz chimiques interdits. Personne n’a oublié les deux jeunes hommes de la région, ceinturés d’explosifs, que l’on avait poussés dans la grotte pour les faire sauter au milieu des civils.
Le secteur a connu une amélioration du climat social avec une meilleure coordination entre les travailleurs et l’administration, ainsi que l’élaboration d’une cartographie sanitaire optimisée.
L’établissement a recueilli jusqu’à ce jour plus de 970 témoignages vivants sur la Guerre de Libération, représentant 470 heures d’enregistrement sur de précieux faits historiques.
Dans la ville de Khenchela, la destination privilégiée durant le Ramadhan pour des milliers de citoyens, dont certains viennent même des autres régions, est sans conteste le marché populaire de Z’kak Souafa, le plus ancien de la wilaya.
La dixième édition de cet événement ramadhanesque est marquée par la distribution de box s’hour aux démunis, alors que 10 DA seront reversés pour les nécessiteux pour chaque bouteille Pril Isis achetée.
Les premiers échantillons d’aliments, suspectés d’être avariés, destinés à la grande consommation, sont, depuis quelques jours, en cours d’analyses au laboratoire de la qualité et de la répression des fraudes de la wilaya de Guelma.
L’APC de Guelma a lancé une opération pour la fourniture et pose de ralentisseurs ayant ciblé quelques artères très fréquentées notamment à proximité des mosquées.
La violence du choc a causé la mort sur place d’une femme âgée de 30 ans et des blessures à son père âgé de 60 ans, selon le communiqué de la Protection civile de la wilaya de Sétif, où l’unité d’El Eulma est intervenue samedi 15 mars vers 15h15 suite à ce drame qui a eu lieu près du douar Stita dans la commune de Bir El Arche, dans la direction de l’Est.
Un incendie s’est déclaré dans la nuit de vendredi à samedi au parc de l’établissement de transport urbain et suburbain de Souk Ahras, provoquant la destruction de 7 bus de transport urbain et suburbain, selon un communiqué de la direction de la Protection civile de la wilaya.