L’Iran et les Etats-Unis ont tenu hier à Rome des pourparlers «indirects» sur le programme nucléaire iranien, une semaine après de premiers échanges qualifiés de «constructifs».
L’Iran et Etats-Unis ont convenu de poursuivre les pourparlers samedi prochain. «Le seul sujet des discussions sera le nucléaire et la levée des sanctions», a ajouté le porte-parole, sans préciser où se tiendront les prochaines discussions.
Par l’intermédiaire du sultanat d’Oman, des pourparlers sont tenus hier par les délégations américaine et iranienne sur le nucléaire de la République islamique. Il s’agit des discussions les plus importantes depuis le retrait américain en 2018, sous la présidence de Donald Trump, d’un accord conclu en 2015 entre l’Iran et les grandes puissances pour encadrer le programme nucléaire iranien en échange d’une levée des sanctions.
l L’espoir d’arriver à la fin de la guerre à Ghaza s’est encore éloigné durant cette fin de semaine, et il est peu probable, sauf surprise, que les parties reviennent à la table des négociations l Le Plan dit Witkoff, qui prévoit la libération des otages et la prolongation du cessez-le-feu jusqu’à la mi-avril, sans garantir la fin de la guerre, a été rejeté par le Hamas, qui réclame des pourparlers sur la 2e phase de l’accord signé au mois de janvier dernier l Le Hamas a annoncé être prêt à libérer, en geste de bonne foi, les otages israélo-américains, vivants et morts, pour aller vers des pourparlers plus larges permettant la fin de la guerre, mais Israël et les Etats-Unis ont rejeté l’offre.
Le dialogue militaire entre l’Algérie et les Etats-Unis entre dans une nouvelle phase. Les deux pays s’apprêtent à lancer des groupes de travail officiels afin de mettre en œuvre leur récent mémorandum d’entente en matière de défense.
l Les négociations directes et inédites entre les Etats-Unis et le Hamas, à Doha, pour la libération d’otages américains et un accord plus large qui aboutirait à la fin de guerre à Ghaza, inquiètent le Premier ministre israélien, dont les réactions irritent les conseillers du président Donald Trump. l Baisse de confiance et tension dans les relations entre Netanyahu et les conseillers de Donald Trump, alors que les pourparlers pour un cessez-le feu sont à l’arrêt depuis une semaine. Pendant ce temps, la population subit un blocus israélien sur la nourriture.
Prévue hier, la première réunion des pourparlers sur la 2e phase de la trêve à Ghaza n’a pas eu lieu. Le déplacement de la délégation devant prendre part à ce rendez-vous, à Doha, a été annulé 48 heures avant par le Premier ministre israélien Netanyahu, pour aller rencontrer, aujourd’hui, le président Donald Trump, à Washington et discuter avec lui, l’accord, violant ainsi les termes de ce dernier.
Aussi bien les médias israéliens, américains que britanniques ont évoqué une «lueur d’espoir» tout en restant prudents, alors que l’administration Biden sortante et celle de Trump qui la remplacera font la course pour s’approprier, chacune de son côté, un cessez-le feu, avant le 20 janvier.
Des représentants de l’armée soudanaise sont retournés à Djeddah, en Arabie Saoudite, pour reprendre les négociations avec les paramilitaires, a indiqué hier une source gouvernementale, au moment où la guerre entre les généraux rivaux entre dans son quatrième mois. «Une délégation des forces armées est retournée à Djeddah pour reprendre les négociations avec les rebelles des Forces de soutien rapide», a déclaré une source gouvernementale sous le couvert de l’anonymat, n’étant pas autorisée à parler aux médias.
Le négociateur en chef russe dans les pourparlers de paix avec l'Ukraine, Vladimir Medinski, a fait l'éloge dimanche 3 avril d'une position "plus réaliste" de Kiev prêt, sous conditions, à accepter un statut neutre du pays, réclamé par Moscou.
«Pour l'instant, nous ne pouvons pas faire état de quoi que ce soit de très prometteur ou d’une percée quelconque. Il y a beaucoup de travail à accomplir», a indiqué à la presse le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov.
Les pourparlers entre la Russie et l’Ukraine ont été «substantiels» et pourraient ouvrir la voie à une rencontre entre les présidents Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky, ont estimé les négociateurs des deux camps, des annonces toutefois accueillies avec circonspection par les Occidentaux.
L'euro montait fortement face au dollar américain mardi 29 mars, profitant des avancées des négociations Russie-Ukraine, tout comme le rouble russe, qui réagissait encore plus.
La Russie va radicalement réduire son activité militaire en direction de Kiev et Tcherniguiv en Ukraine, après des pourparlers russo-ukrainiens "substantiels" à Istanbul, ont indiqué mardi 29 mars des négociateurs russes.
Les délégations russe et ukrainienne ont entamé leurs négociations à Istanbul mardi matin, après avoir été accueillies par le président turc.
La Russie et l'Ukraine n'ont pas accompli d'"avancées significatives" pour l'instant dans leurs négociations visant à mettre fin au conflit en Ukraine, a déclaré lundi 28 mars le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Selon Kiev, le nouveau round des pourparlers débutera demain en Turquie. Moscou a annoncé aussi la tenue d’une nouvelle session de discussions, mais en disant qu’elles se dérouleraient demain et mercredi, sans préciser le lieu.
Moscou a accusé mercredi 23 mars les Etats-Unis d'entraver les "difficiles" négociations russo-ukrainiennes, estimant que le but de Washington était de "dominer" l'ordre mondial, y compris par le bais des sanctions.
Le Kremlin a jugé mardi 22 mars que les pourparlers en cours avec Kiev n'étaient pas assez "substantiels", le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'étant dit prêt de son côté à des "compromis" qu'il veut soumettre à un référendum.
Une neutralité de l'Ukraine sur le modèle de la Suède et de l'Autriche est le compromis que les négociateurs russes et ukrainiens discutent actuellement, a indiqué mercredi 16 mars le Kremlin.