Le gouvernement israélien mesure parfaitement l’impact d’un débat ouvert actuellement sur l’octroi d’un statut d’Etat membre de l’ONU à la Palestine et s’affole à l’idée que le sujet soit mis sur la table au moment où il mène une guerre censée définitivement enterrer la perspective d’un territoire souverain pour les Palestiniens.
La première conférence programmée par l’ENSCRBC (Ecole nationale supérieure de conservation et restauration des biens culturels) de Tipasa, afin d’entamer la célébration du mois du Patrimoine, aura permis à l’assistance de prendre connaissance sur les conséquences tragiques que subit le peuple palestinien et ses patrimoines culturels, à la suite de la sauvage et féroce agression menée par les militaires israéliens sionistes et criminels et leurs alliés, sous le regard passif et impuissant de la communauté internationale.
Comment expliquer cet acharnement violent commis par les militaires sionistes contre les sites culturels et historiques palestiniens ?
Les réunions du Conseil de sécurité de l’ONU se suivent et se ressemblent, coincées structurellement dans un paramétrage inégalitaire des pouvoirs d’arbitrage et de décision. L’entrain de certains de ses membres non permanents arrive cependant à faire bouger les lignes.
Même si la majorité des membres du Conseil de sécurité de l’Onu savait que Washington, fervent défenseur d’Israël, allait s’opposer à la pleine adhésion de la Palestine à l’Onu, il restait une toute petite lueur d’espoir chez quelques-uns, qui ont tenté, vainement, durant les débats, de convaincre de la justesse de cette demande émanant de la Palestine et présentée par l’Algérie au Conseil de sécurité.
Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a mis en garde, jeudi dernier à New York, contre le danger menaçant la paix au Moyen-Orient et la solution à deux Etats. Dans son allocution prononcée à l’occasion de la réunion du Conseil de sécurité sur la situation au Moyen-Orient, le chef de la diplomatie algérienne défend, en usant un argumentaire fort, la nécessité d’accepter l’adhésion à part entière de la Palestine à l’ONU.
Aune heure avancée de la nuit de mardi à mercredi derniers, l’Algérie a introduit et mis en bleu son projet de résolution auprès du Conseil de sécurité de l’Onu, dans lequel elle réclame l’admission de la Palestine, en tant qu’Etat membre des Nations unies à part entière.Aune heure avancée de la nuit de mardi à mercredi derniers, l’Algérie a introduit et mis en bleu son projet de résolution auprès du Conseil de sécurité de l’Onu, dans lequel elle réclame l’admission de la Palestine, en tant qu’Etat membre des Nations unies à part entière.
Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf, s’est entretenu, hier au siège du ministère, avec le Premier ministre, ministre des Affaires étrangères et des Expatriés de Palestine, Mohammad Mustafa.
L’assassinat par l’armée sioniste des sept humanitaires de l’Ong américaine WCK, à Ghaza, a poussé de nombreux navires avec 240 tonnes à faire demi-tour, après avoir été redirigés vers Chypre. Cet acte n’est pas isolé. Israël a déjà pilonné des convois de l’Unrwa, l’agence onusienne qui aide les Ghazaouis à survivre, mais aussi assassiné 196 humanitaires, parmi lesquels 176 de l’Unrwa, dans l’exercice de leurs fonctions. A ce jour, l’Etat hébreu refuse d’autoriser l’agence onusienne à accéder au nord du pays.
Proclamé officiellement à Alger en 1988, il a fallu attendre l’année 2012 pour que l’Etat de Palestine accède au statut d’observateur au sein de l’ONU. Et malgré le fait qu’il soit reconnu par 140 pays sur les 193 qui siègent à l’Assemblée générale des Nations unies, il n’est toujours pas admis comme membre à part entière de l’ONU.
Des courts métrages réalisés par des femmes-cinéastes palestiniennes ont été projetés vendredi soir à Alger, en hommage à Walla Saada, l’une d’entre elles, réalisatrice de Khouyout harir (Fils de soie) avant de tomber en martyre récemment à Ghaza suite aux bombardements barbares de l’armée d’occupation sioniste.
Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a appelé à encourager et à intensifier l’action judiciaire contre Israël devant les juridictions internationales, comme la Cour internationale de justice (CIJ) et la Cour pénale internationale (CPI).
Le Conseil exécutif de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) a adopté, vendredi lors de sa 219e session tenue à Paris, une troisième résolution intitulée: «Impact et conséquences de la situation actuelle dans la bande de Ghaza dans les différents volets du mandat de l’UNESCO», après adoption à l’unanimité de deux résolutions relatives à l’Etat de Palestine, a rapporté l’agence de presse Wafa.
La cargaison du premier bateau d'aide humanitaire arrivé vendredi 15 mars dans la bande de Ghaza depuis Chypre a été déchargée et va pouvoir être distribuée à la population menacée de famine après plus de cinq mois de guerre, a indiqué samedi l'ONG en charge de l'opération.
C'est le summum de l’hypocrisie, ce largage sur Ghaza par Washington, par voie aérienne, de quelques milliers de «doses» de nourriture.
Six enfants palestiniens sont morts de faim dans la Bande de Ghaza, selon un nouveau bilan donné mercredi soir par le porte-parole du ministère palestinien de la Santé, Ashraf Al Qudra.
Depuis le début de la guerre contre Ghaza, il ne se passe quasiment pas un jour sans que des artistes, des écrivains, des poètes et autres figures du monde de la culture à l’échelle mondiale ne se fendent d’un mot, d’un geste, d’une œuvre, pour exprimer leur soutien au peuple palestinien.
Une nouvelle trêve entre le Hamas et Israël est prévue en début de semaine prochaine et pourrait durer tout le mois de Ramadhan.
L’Algérie a démontré devant la Cour internationale de justice (CIJ) la violation du droit international en Palestine par l’occupant israélien. Intervenant hier, au deuxième jour des audiences concernant la demande d’avis consultatif sur les conséquences juridiques découlant des politiques et pratiques de l’Etat hébreu en Palestine, le professeur Ahmed Laraba a appelé, au nom du groupe des juristes algériens, la Cour à confirmer cette violation. «(…) L’Algérie réitère les demandes qu’elle a exprimées dans ses écritures antérieures.
La voix de la Palestine a résonné durant trois heures au Palais de la Paix, à La Haye (Pays-Bas), siège de la Cour internationale de justice (CIJ), où des audiences publiques consacrées aux conséquences juridiques de la pratique coloniale d’Israël sur les Territoires palestiniens, y compris Jérusalem-Est, ont été ouvertes hier.