Comme de coutume, à l’approche du douzième hégirien, une effervescence s’empare de la ville et dans sa périphérie. Nos cités deviennent une aubaine pour certains revendeurs de moutons qui ne ratent pas l’occasion de transformer le moindre empan en lieu commercial où ils font leurs choux gras, tirant de substantiels dividendes.
Dans l’entretien accordé à El Watan, le Dr Salim Kebbab, vétérinaire passionné, évoque l’évolution des races bovines dans le pays et la nécessité de les préserver.
Au milieu d’un troupeau de moutons qui pâturent dans un champ des Highlands écossaises, Luigi et Peaches, deux jeunes chiens à l’épais pelage blanc, gardent un œil sur le ciel.
Une campagne de sensibilisation a été menée à Tizi Ouzou pour optimiser l’opération de collecte des peaux de mouton le jour de la fête l’Aïd El Adha. C’est la direction de l’industrie et des mines de la wilaya qui chapeaute la commission installée à cet effet.
Les prix restent relativement élevés par rapport aux années précédentes.
Au total, vingt points de vente de bétail «réglementés» sont ouverts à travers les grandes agglomérations urbaines de Médéa en prévision de l’Aïd El Adha, a-t-on appris dimanche auprès de la direction locale du commerce et de la promotion des exportations.
La nouvelle de la perte de pas moins d’une trentaine de moutons au niveau d’une exploitation agricole d’élevage au lieu-dit Les Trois fermes relevant de la commune de Sebaine, 45 kilomètres au nord-est de Tiaret, a soulevé une vive polémique qu’ont amplifiée les réseaux sociaux au lendemain des fêtes de l’Aïd El Fitr.