La célébration, demain, de la Journée nationale du Chahid sera une autre occasion d’interroger l’histoire et de mieux connaître le parcours de ses artisans dont le combat et le sacrifice ont rendu possible et inéluctable l’indépendance nationale.
L’ignorance des faits historiques se perpétue à l’échelle locale, en particulier à Tipasa.
Pour recentrer le débat, il nous faut souligner et rappeler que nous avons failli principalement pour ne pas avoir œuvré à créer un centre d’intérêt autour des événements réels qui ont parsemé le cours de la glorieuse Révolution de Novembre, ce qui signifie :
Une immense foule s’est déplacée, samedi dernier, au village Ighzer Iwaquren, relevant de la commune de Saharidj, au nord-est de Bouira, pour commémorer la date historique du 6 mai 1957.
Plusieurs centaines de citoyens ont participé, hier à Sétif, à la marche de la fidélité aux martyrs tombés le 8 Mai 1945, au cours d’un des plus grands crimes de l’histoire contemporaine. Les marcheurs, avec à leur tête le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebiga, ont insisté sur la préservation de la mémoire collective et sa consolidation dans l’esprit des générations.