● Le feuilleton des restrictions imposées sur l’importation des véhicules d’occasion n’est pas près de connaître son épilogue. Les voies de recours, exploitées en particulier par un groupe parlementaire, se multiplient contre les nouvelles mesures adoptées dans la LF-2025 sur l’importation de voitures de moins de trois ans et après rejet de la proposition d’élargir l’importation aux voitures d’occasion de moins de cinq ans.
Les Algériens à l’étranger vont-ils finalement être autorisés à importer des véhicules de moins de trois ans ? La question sera tranchée par la Cour constitutionnelle. Mercredi dernier, 47 députés ont saisi cette institution pour se pencher sur ce dossier.
Mohamed Yaddadène nous livre, à travers cet entretien, ses appréciations sur l’évolution du marché automobile actuel ainsi que ses prévisions dans la foulée de la relance de l’activité automobile à l’orée de l’année 2024 qui signe l’entrée en activité de plusieurs marques de voitures sur le marché.
Les avantages fiscaux accordés par la Loi de finances 2023 à l’importation de véhicules électriques et hybrides devaient nécessairement être accompagnés d’un dispositif d’actions et de mesures pouvant rendre possible cette option stratégique prise par l’Etat.
Depuis la relance du secteur de l’automobile en Algérie, les spéculations sur la délivrance des agréments et la disponibilité de nouvelles marques de véhicules sur le marché vont dans tous les sens.