Les investissements directs à l’étranger de la Chine dans le secteur non financier ont augmenté de 10% en glissement annuel pour atteindre 149,64 milliards de yuans (environ 21,09 milliards de dollars) au cours des deux premiers mois de l’année 2024, selon des données officielles publiées le 21 mars.
Le chef de mission adjoint à la délégation de l’UE en Algérie a estimé que l’Algérie et l’UE doivent «revisiter l’Accord d’association signé entre les deux parties en 2002, afin de le transformer en un puissant instrument pour renforcer le partenariat entre l’Algérie et les pays européens, dans un esprit gagnant-gagnant».
Après de longs atermoiements et un recul des flux d’investissements durant ces dernières années, l’Algérie est-elle décidée cette fois de s’attaquer de front à cette problématique en mettant en place une politique favorable aux investissements directs étrangers (IDE) ?
Selon les experts étrangers, l’Algérie a des potentialités pour attirer l’investissement étranger, car c’est un pays où l’on peut exporter vers l’Europe, vers les marchés africains. L’Algérie dispose d’une bonne connexion internationale.
La région de l’Afrique du Nord a ainsi enregistré une baisse de 5% du flux des IDE en 2021, en atteignant un niveau d’investissement de 9,3 milliards de dollars, alors que le reste du continent marque un bond appréciable du flux des investissement étrangers.