Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a concédé dimanche la victoire historique de l’opposition aux élections municipales, qui constituent selon lui un «tournant» pour son camp, au pouvoir depuis 2002. Après dépouillement de 95% des urnes à l’échelle nationale, l’opposition turque a infligé au parti AKP (islamo-conservateur) du chef de l’Etat sa pire débâcle électorale.Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a concédé dimanche la victoire historique de l’opposition aux élections municipales, qui constituent selon lui un «tournant» pour son camp, au pouvoir depuis 2002. Après dépouillement de 95% des urnes à l’échelle nationale, l’opposition turque a infligé au parti AKP (islamo-conservateur) du chef de l’Etat sa pire débâcle électorale.
Les élections municipales en Turquie dimanche constituent le pire revers électoral du président, Recep Tayyip Erdogan, depuis l’accession au pouvoir de son parti islamo-conservateur, l’AKP, en 2002. Passées aux mains du principal parti de l’opposition il y a cinq ans, les deux plus grandes villes de Turquie, tenues par l’AKP (Parti de la justice et du développement) et ses prédécesseurs islamistes entre 1994 et 2019, ont vu leurs deux maires sortants réélus triomphalement dimanche.
Ce n’était une surprise pour personne. Le 2e tour des élections locales en Tunisie n’a drainé que 12,44% de l’électorat.
Nul ne doute de la popularité du président Saïed en Tunisie. Il passera sans le moindre doute, et dès le 1er tour, lors de la prochaine élection présidentielle en 2024, s’il se représente bien sûr, et face à n’importe quel candidat.
La Tunisie a organisé, hier, des élections locales dont l’objectif est la mise en place d’une deuxième chambre au Parlement, dernière pierre de l’édifice «autoritaire» du président Kais Saied, selon l’opposition, rapporte l’AFP.Environ 9 millions de Tunisiens (sur 12 millions) sont appelés à élire plus de 2000 conseillers locaux sur environ 7000 candidats, selon l’autorité électorale Isie.
Les conservateurs britanniques subissent des pertes importantes, selon les premiers résultats d’élections locales en Angleterre, un mauvais présage pour le Premier ministre, Rishi Sunak, et sa majorité au Parlement avant les prochaines législatives.
«L’objectif de la participation du FFS est de gagner des espaces dans les Assemblées populaires communales concernées et profiter de ce rendez-vous pour promouvoir son projet politique et plaider en faveur de sa vision de la gestion locale basée sur la démocratie participative et la solidarité locale», lit-on dans un communiqué.