L’Algérie gagnerait à renforcer le pilotage de son économie pour optimiser sa gestion macroéconomique et soutenir un processus de réformes structurelles incontournables.
Le FMI note que «la croissance réelle devrait rester forte en 2024, à 3,8%, soutenue en partie par d’importantes dépenses budgétaires». «Les pressions inflationnistes ont persisté et la politique monétaire est restée accommodante». Le Fonds souligne les risques qu’impliquent une inflation persistante, la volatilité des prix internationaux des hydrocarbures, les risques budgétaires et une dette publique croissante.