Le travail de mémoire se poursuit entre l’Algérie et la France. Selon des informations rapportées par le média France Bleu, un travail de réhabilitation de cimetières d’Algériens déportés et emprisonnés durant la colonisation française est en train d’être effectuée sous l’égide d’un comité dirigé par Benjamin Stora, qui assure la coprésidence de la commission mixte algéro-française Histoire et Mémoire.
Selon le Bureau gouvernemental des médias à Ghaza, le nombre de journalistes tués dans les raids israéliens s’élève à 96. A préciser toutefois que ces journalistes ne sont pas tous morts dans l’exercice de leur fonction.
Le saint patron de Guelma, El Hadj M’barek Bokhari El Mogherbi, doit se retourner dans sa tombe. Le plus vieux cimetière, qui porte son nom sur les hauteurs de la ville du 8 Mai 1945, accueille depuis sa création les dépouilles des habitants.
Le problème de réalisation d’un cimetière pour la nouvelle ville Ali Mendjeli, dans la daïra d’El Khroub, sera-t-il enfin réglé ? C’est la question que la population de cette mégacité se pose toujours, au moment où les autorités tentent de trouver des solutions en raison de l’indisponibilité d’assiettes de terrain, alors qu’il fallait penser à un lieu pour enterrer les morts, il y a plus de vingt ans, quand ce pôle urbain avait pris naissance dans l’urgence et la précipitation pour reloger les habitants des bidonvilles et des sites menacés par les glissements.
Même les objets de mémoire n’ont pas échappé au vol de la part des bandes de délinquants pour les revendre aux commerçants de la ferraille. Cela s’est passé récemment dans la commune d’Ain Taghrout, située à 90 km à l’est de Bordj Bou Arréridj.