C’est l’homme politique qui fait le plus parler de lui ces derniers temps, ici et, surtout, là-bas. En France, Bruno Retailleau (64 ans), ministre français de l’Intérieur, est un accélérateur de l’extrême droite. Ici, c’est celui qui permet de ressouder les rangs.
Depuis sa prise de fonction en tant que ministre de l’Intérieur, le 21 septembre 2024, dans le gouvernement de Michel Barnier puis dans le gouvernement de François Bayrou, Bruno Retailleau a suscité de vives réactions au sein de la communauté musulmane en France.
Le ministre français de l'Intérieur, Bruno Retailleau, appartient à une partie de la droite française qui n'a jamais accepté que l'Algérie ait arraché son indépendance et que cette dernière ne lui a pas été octroyée par la France, a soutenu l'éditorialiste et spécialiste français des questions internationales, Anthony Bellanger. «Bruno Retailleau appartient à une tradition de la droite française qui n'a jamais pu admettre que l'Algérie (ait arraché) son indépendance et qu'on ne la lui a pas donnée.
Le dernier round de tensions entre Paris et Alger est engagé. Après le refus par Alger d'une liste de 60 ressortissants que la France souhaite expulser, l’Exécutif français multiplie les déclarations et les surenchères. Lundi, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, évoquait une «riposte graduée» contre l’Algérie. «Je regrette que l’Algérie refuse d’appliquer le droit international», a-t-il réagi sur X, précisant sur France Inter : «La réponse de l’Algérie, nous l’attendions.
La présidente du groupe parlementaire La France insoumise (LFI), Mathilde Panot, a, de nouveau, alerté l’opinion publique française sur l’agitation dangereuse que continue d’entretenir avec l’Algérie, le ministre de l’Intérieur français, Bruno Retailleau. «Monsieur Retailleau est un fauteur de troubles», a-t-elle lancé, avant-hier, sur le plateau de L’Événement du dimanche sur la chaîne LCI.
Le ministre français de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a brandi, samedi, la menace d’une démission si la France «ne durcissait pas sa position face à l’Algérie» sur la question des ressortissants en situation irrégulière.
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, continue de s’en prendre aux Algériens. Une nouvelle note faussement secrète a été divulguée dimanche. Son ton vindicatif tranche avec l’apaisement prôné par le président Emmanuel Macron.
Le président français, Emmanuel Macron, intervient à nouveau dans la crise entre l’Algérie et la France. Face à l’insistance de son Premier ministre, Bruno Retailleau, à aggraver la tension entre Alger et Paris, il décide, visiblement, de lui rappeler, ainsi qu’au premier ministre, François Bayrou, leurs prérogatives.
La crise inédite entre l’Algérie et la France accentue la dichotomie entre une partie du gouvernement français et l’Elysée. Au stade actuel de la crise, on assiste à un véritable – et dangereux – cafouillage au sommet de l’Etat français. D’un côté, un président français qui se dit conciliant et qui veut jouer la carte de l’apaisement avec l’Algérie ; de l’autre, un ministre de l’Intérieur va-t-en-guerre, provocateur et qui ne semble s’astreindre à aucune limite lorsqu’il s’agit de notre pays.
Au lendemain même où son Premier ministre proférait des menaces et adressait des ultimatums à l’Algérie, le président Emmanuel Macron a tenté une désescalade et un apaisement des tensions qui marquent la relation algéro-française.
Le président français, Emmanuel Macron, brise le silence. Ayant laissé le train, plusieurs se-maines durant, à des acteurs de l’extrême droite ou proches de ce courant hostile à l’Algérie, dont le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, pour envenimer les rapports entre Alger et Paris, il prône désormais l’apaisement.
Revoilà Retailleau. Le ministre de l’Intérieur français s’étouffe de rage après l’assassinat d’un Portugais de 69 ans, samedi, tué à l’arme blanche à Mulhouse, dans l’est de la France.
La décision de la justice française de suspendre l’expulsion de l’influenceur Doualemn vers son pays d’origine marque un nouvel échec retentissant pour Bruno Retailleau, le ministre de l’Intérieur français.
Un autre pas dans la crise entre l’Algérie et la France, cette fois-ci du côté de François Bayrou, le Premier ministre français qui, en parlant de «submersion migratoire», a alimenté le fantasme du «grand remplacement», classique fonds de commerce d’Eric Zemmour.