Le coup d’envoi de la 10e édition du Festival culturel local de l’inchad a été donné, dans la soirée de dimanche à Bou Saâda (M’sila), sous le slogan «Les valeurs de l’inchad cultivent l’esprit de la gloire».
Trois groupes d’Inchad et sept interprètes solistes de Madih religieux sont attendus aux finales de la 10e édition du Festival culturel local de Bou Saada, du 17 au 21 mars courant, a indiqué le chargé de l’information de la manifestation, Seïf Tennah.
Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Brahim Merad, poursuit l’opération d’installation des nouveaux walis délégués, dans le cadre la promotion de sept daïras en wilayas déléguées.
La trémie en cours de construction au centre-ville de Bou Saâda (M’sila) sera réceptionnée «avant la fin du mois de mai 2024», a affirmé hier le directeur de wilaya des travaux publics (DTP), Mohamed Belhamzi.
Située à la porte du désert, Bou Saâda émerge comme un joyau, offrant aux voyageurs une plongée immersive dans l’histoire, la culture et la beauté naturelle de l’Algérie. C’est la destination tendance de la saison saharienne 2023/2024, mais aussi le décor favori des fêtes de fin d’année.
Des travaux de reconversion de 40 locaux commerciaux abandonnés en annexe de collège d’enseignement moyen (CEM) viennent d’être lancés dans la commune de Bousaâda (M’sila), a-t-on appris lundi auprès du président de l’Assemblée populaire communale (APC), Saïd Benamor.
A l’issue de sa conférence tenue à l’ENSCRC de Tipasa, l’architecte, l’anthropologue et l’enseignante en histoire, Dr Ferhati Barkahoum, a voulu répondre à nos questions.
Une initiative personnelle née du constat qu’elle a fait au cours de ses fréquents séjours : les autochtones, essentiellement les femmes et enfants, voient passer des milliers de touristes pour voir des « choses » dont ils ignorent tout. Les hommes les connaissent parce qu’ils sont occasionnellement guides, chauffeurs ou cuisiniers et qu’ils en parlent entre eux. Yamina Miri, éprouve un incommensurable attachement au Grand Sud. Pas une passion, nous corrige-t-elle, mais un amour sans borne.
La conception des logements en Algérie était toujours une véritable énigme, non seulement sur le plan architectural, mais surtout vis-à-vis de l’ancrage culturel, sociétal, voire environnemental, de la population.