L’évolution positive de la superficie agrumicole s’est faite au détriment d’autres espèces arboricoles.
Le changement climatique a eu des effets négatifs sur le verger algérien d’une manière général. On peut corriger cela via un apport hydrique avec l’irrigation.
La dynamique de la filière boostée par une consommation importante de l’ordre de 36 kg par an et par habitant (kg/an/hab) ne se reflète ni sur les prix de vente ni sur les gains des agriculteurs.
-Quelle est la superficie dédiée aux agrumes dans la wilaya de Blida ? Il faut dire que notre wilaya est classée première à l’échelle nationale pour ce qui est de la superficie agrumicole. L’Algérie en compte 70 000 hectares, dont environ 30% sont situés à Blida, soit 23 000 hectares. J’aimerais souligner par l’occasion que les chiffres officiels émanant des services agricoles de la wilaya de Blida ne sont pas actualisés, puisqu’ils tournent toujours autour de 20 000 hectares.
Culture dominante sur la plaine du Cheliff avec une superficie de 6800 ha, l’agrumiculture maintient le cap vers un développement durable étudié, tout en tenant compte des ressources en eau disponibles (eaux des barrages et des forages privés), vu le manque de pluie que connaît la région depuis ces dernières années.