Alors qu’un accord de cessez-le-feu a été annoncé mercredi soir entre le Hamas et Israël, accord qui devrait entrer en vigueur demain, l’entité sioniste a poursuivi sans répit son entreprise génocidaire, gâchant la joie des Palestiniens de retrouver enfin un peu de paix. Plus de 111 morts, dont 27 enfants, ont été enregistrés à Ghaza depuis cette annonce, selon la Défense civile palestinienne.
Cette instrumentalisation des tensions franco-algériennes risque de creuser davantage le fossé entre les deux peuples. Les allégations n’ont aucun fondement, mais elles trouvent un écho favorable auprès des milieux d’extrême droite, toujours en quête d’un bouc émissaire.
Depuis hier, des tractations sont en cours en vue d’aller vers une trêve d’une semaine qui permettra un échange de prisonniers entre le Hamas palestinien et l’occupant israélien.
A retenir cette effroyable boucherie commise samedi soir par l'armée d'occupation israélienne et qui a coûté la vie à 37 personnes d’une même famille à Jabaliya, au nord de la Bande de Ghaza. Il s’agit de la famille de Jamal Eddine Salim Abu Aïta, propriétaire d’une laiterie.
Depuis le début de l’agression contre Ghaza, l’entité sioniste et ses colons ont mené, parallèlement aux bombardements dans l’enclave palestinienne, pas moins de 400 attaques contre la population palestinienne en Cisjordanie occupée.