Les actions visant l’amélioration de la performance arbitrale d’ensemble se multiplient à l’intérieur de la Commission des arbitres de la FIFA et vont toutes dans le sens de la continuité de manière à sauvegarder voire consolider les acquis précédents.
Le deuxième match du groupe de Annaba ayant opposé la Cote d’Ivoire au Sénégal a été pour les observateurs un réel régal.
Hier, le coup d’envoi d’une très grande manifestation footballistique concernant le CHAN de notre immense continent africain a été donné en Algérie et qui durera jusqu’au 4 février prochain sur quatre grands stades, pour les uns récemment réceptionnés et les autres totalement rénovés pour cette opportunité sportive.
Loin des feux des médias, mais plutôt très actif, voire attentif dans l’action de proximité à l’écoute des jeunes démunis et ceux qui s’en occupent, l’Association Ouled El Houma, que dirige l’infatigable ex- arbitre international El Hadj Abderrahmane Bergui.
S’il y a une évocation aussi captivante d’un des plus anciens joueurs sétifiens à faire revivre pour nos chers lecteurs, celle de Si El Hadi Benmahmoud en est une. Si El Hadi aux 92 ans bien accomplis et excellemment bien supportés, à seulement le voir ou mieux à discuter avec lui est un vrai régal.
Comme à son habitude, calme, pondéré et surtout sûr de lui, de ce qu’il fait et de son challenge avec son équipe, «Hakkoum donne l’impression d’être surpris par la nouvelle de sa prétendue démission qui a fait le tour de la ville et de l’Algérie. Il nie catégoriquement cette «nouvelle» tendancieuse du reste qui cache mal cette mauvaise intention de semer la zizanie au sein du groupe qui s’est raffermi encore davantage après les derniers résultats techniques plus que positifs de l’équipe.
Là où il est passé comme entraîneur, le regretté El Hadj Abderahmane Mehdaoui n’a laissé que de bons souvenirs et de belles évocations avec tous les compétiteurs.
La Chaîne TV qatarie sportive «beIN Sports» a dépêché son équipe de tournage à l’effet de consacrer un reportage biographique à celui qui demeure une icône incontournable et une légende vivante pour le monde du sifflet national et international, en l’occurrence Mohamed Hansal qui fut, rappelons-le, badgé FIFA l’année 1977, et ce, jusqu’à 1991, totalisant un règne sur la scène internationale de 14 saisons hautement et convenablement accomplies.
Ce que beaucoup d’observateurs avaient prédit comme tiraillements et autres divergences sur le mode de gestion du lourd dossier de l’arbitrage entre ceux qui tiennent le devant de la scène depuis leur (récente) installation, en l’occurrence le V/P de la CFA Haïmoudi et le DTNA Medjiba, et dès le premier accroc traduit avec une mauvaise intention en polémique est (déjà) sur la place publique.
Peut-on affirmer que désormais les arbitres algériens ne seront plus considérés telle la dernière roue du carrosse ? Comment cela est-il arrivé ?
Comme à chaque annonce de changement à la tête de la FAF et peu importe le nom ou les noms des postulants à la direction de la fédération, des parties fortement connues car habituellement intéressées par l’atelier «arbitrage» et ses poules qui pondent des œufs en or avec tous les dividendes qui en découlent, que ce soit des arbitres sous leur coupe, les clubs, les intermédiaires et autres postes au sein des instances internationales, jouent les prolongations afin d’arriver à leur objectif.
Même si le terrain est bosselé et un climat défavorable, à la condition expresse que l’arbitre jouisse d’une vision correcte et sans correction (lentilles), ce dernier doit tout faire, en application saine des lois du jeu, pour ne pas léser une des deux équipes sur le terrain, particulièrement sur les duels en pleine surface de réparation.
Un nouveau chapitre s’ouvre aux Verts avec une nouvelle âme pour amorcer une autre entame en vue d’écrire une nouvelle page de l’histoire pour les Verts à l’effet de se qualifier pour la prochaine CAN-2023 devant se dérouler en Côte d’Ivoire.
Faisant des dates historiques à haute résonance symbolique, comme celle du 3 Mai de chaque année consacrée et fêtée de par le monde pour la liberté d’expression, donc concernant la famille de la presse, et encore celle du 8 Mai 1945, laquelle date porte en son sein les souvenirs encore vivaces des horribles massacres perpétrés en ce jour par le colonialiste français et qui demeure inoubliables par tout un peuple, encore plus celui de cette ville de Sétif portant fièrement cette date car baptisée la ville du 8 Mai 45.
Fidèle à sa bonne habitude de commémorer les évènements nationaux ayant marqué l’histoire du pays avec ses dates inoubliables, devenue une belle tradition, la wilaya de Bouira a été à la hauteur de l’évènement, encore une fois, en mobilisant ses cadres supérieurs (SG de la wilaya, DAL, chef de daira et DJS) en commémorant les évènements de ce fameux 8 mai 1945 ayant connu un massacre horrible de pas moins de 45 000 morts parmi la population algérienne.
Après de longs mois de convalescence, l’ancien arbitre international Ammar Ghotari a tiré hier en matinée sa révérence à l’âge de 85 ans. Celui qui fut d’abord un défenseur de la fameuse équipe de sa ville natale, la JJ Azzaba, et suite à son transfert professionnel vers Constantine dans le corps des officiers de la Sûreté nationale, il s’y installa définitivement pour embrasser une carrière d’arbitre qui le mena jusqu’au plus haut grade de la hiérarchie arbitrale.
A voir le comportement de la majorité de nos joueurs locaux (formés en Algérie) devenus de véritables professionnels dans des championnats européens de haut niveau vis-à-vis des arbitres directeurs et leurs assistants, on dirait que la contestation des décisions arbitrales et la perte de temps leur ont été inculquées à l’école de football.
Pour la manche retour décisive entre l’Algérie et le Cameroun, c’est l’expérimenté arbitre gambien Bakary Papa Gassama qui a été choisi pour la diriger. Durant le choix du toss entre les deux capitaines, Riyad Mahrez a laissé l’avantage au Camerounais.
Après avoir été récusé et longuement contesté en Algérie après sa désignation, comment s’est comporté Bondo lors de cette confrontation capitale ?
L’autre question qui taraude l’esprit des sportifs, toujours concernant cette énigmatique désignation du Botswanais Joshua Bondo, est celle de savoir dans quel état moral et mental cet arbitre abordera sa délicate et non moins très compliquée mission arbitrale ?