L’université Kasdi Merbah de Ouargla vient d’enregistrer un nouveau succès, venant s’ajouter à son palmarès académique et scientifique au niveau international.
Les responsables du projet de promotion des revues scientifiques au sein de la direction de la publication et de l’impression de l’université ont réussi à indexer la revue El Bahith, émise régulièrement par la faculté des sciences économiques, commerciales et de gestion, dans la base de données internationale ERIHPLUS, acronyme de l’European Reference Index for the Humanities, la plaçant ainsi dans la catégorie des revues de classe B.
Cette nouvelle classification contribue l’élévation de cette revue au sein du classement des bases de données indexées mondialement car elle rehausse le statut de la recherche académique au sein de l’université Algérienne.
L’université Kasdi Merbah renforce ainsi son positionnement avec une deuxième revue, lui conférant désormais deux revues sur les 26 indexées des différentes universités algériennes dans cette base de données internationale renommée, telles que La Revue algérienne de traduction et de langues, La Revue algérienne des sciences juridiques et politiques, ainsi que La Revue d’histoire méditerranéenne, parmi d’autres revues algériennes classées dans la catégorie B au niveau mondial dans la base de données ERIHPLUS.
Cet index international contient des informations bibliographiques sur les revues académiques en sciences humaines et sociales (SSH). Créé par la fondation européenne de la science et transféré en 2014 au centre norvégien pour les données de recherche, il comprend toutes les revues qui remplissent les conditions de procédures explicites d’examen externe par les pairs, un comité de rédaction universitaire, avec des membres affiliés à des universités ou d’autres organismes de recherche indépendants, un code ISSN valide, confirmé par le registre international de l’ISSN, des résumés en anglais et / ou une autre langue internationale pertinente pour le domaine pour tous les articles publiés, des informations sur les affiliations et adresses des auteurs et au maximum les deux tiers des auteurs publiés dans la revue par la même institution.