L’économie algérienne étouffe sous le poids des restrictions aux échanges commerciaux, financiers et économiques externes, des rigidités structurelles et des politiques publiques incohérentes. Ces trois facteurs ont causé progressivement depuis dix années des dommages structurels aggravés par la faiblesse des mesures mises en place pour combattre les effets des chocs sanitaire et pétrolier de mars 2020.
Evoquant le dossier de l’investissement dans le domaine du transport maritime et aérien, le ministre des Transports, Aïssa Bekkaï, a fait état, mardi à Alger, de «l’octroi de 15 accords de principe pour des licences dans le domaine de l’aviation et 11 licences dans le secteur du transport maritime de marchandises et de voyageurs».