«Le moment est venu de tourner la page», a affirmé Retailleau à l’Express, réitérant néanmoins son souhait de revoir les accords franco-algériens de 1968, qu’il estime «datés et déséquilibrés».
Dans sa diatribe clairement anti-algérienne, le ministre de l’Intérieur français, Bruno Retailleau, s’est appuyé sur deux faits essentiels : le refus d’Alger d’accueillir l’influenceur «Doualemn» et les poursuites engagées par la justice algérienne contre Sansal.