Le ministère de la Santé a averti que «cela mettrait en danger la vie de centaines de patients, notamment des enfants, des nouveau-nés et des personnes se trouvant dans les unités de soins intensifs».
Autrefois, chaque commune disposait d’un espace de lecture publique et chaque quartier avait au moins une librairie et une bouquinerie. A présent, ces établissements ont troqué leur activité originelle contre un exercice qui semble épouser l’air du temps. La raison serait-elle seulement liée à la désaffection dont fait montre le jeune pour le livre ?
La plupart des citoyens, qui se présentent au siège de l’état civil de l’APC de Mohamed Belouizdad, sont systématiquement renvoyés.