Le Syndicat national des pharmaciens d’officine (Snapo) tire la sonnette. Dans un communiqué émis ces jours-ci sur les réseaux sociaux, il veut alerter l’opinion publique et les autorités compétentes sur le calvaire que subissent nombre de pharmaciens, exposés aux agressions en tous genres, du fait que leurs officines soient en possession de médicaments sensibles, notamment les psychotropes, ô combien nécessaires pour soulager le mal d’un grand nombre de malades.