La femme kabyle a véhiculé un héritage du néolithique (tiçrad (tatouages)), vieux de plus de 10 000 ans jusqu’à son extinction intervenue au XXe siècle.
Le professeur d’économie à l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, Mohamed Dahmani, actuellement en retraite active, vient de publier un nouvel ouvrage intitulé Tazeqqa. Des origines à son extinction, sorti aux éditions Achab.