Dans les collectivités locales, rien de nouveau pour l’heure. La volonté affichée de rompre avec l’ancien mode de gouvernance, même si elle trouve sa traduction au niveau central, a du mal à connaître un prolongement palpable dans les services décentralisés de l’Etat, évoluant quasiment au même rythme que les assemblées élues qui n’ont, jusqu’ici, pas battu tous les records de pragmatisme et d’efficacité.