Après plus de sept mois de crise diplomatique entre Alger et Paris, marquée par des déclarations acerbes de ministres français, les deux pays jouent, apparemment, la carte de l’apaisement.
Les divergences au sein du gouvernement français sur la tension avec l’Algérie ne cessent d’éclater au grand jour. Outre le silence du Premier ministre, François Bayrou, son ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, qui était aligné, il y a quelques semaines, sur les thèses de l’extrême droite, revient visiblement dans le droit chemin.