Depuis son arrestation, à son arrivée à l’aéroport d’Alger, le 16 novembre dernier, l’écrivain algéro-français Boualem Sansal est devenu le principal centre d’intérêt des médias français. Tous les plateaux télés, mis en ordre de bataille, en font leurs choux gras.
Il a fallu une question à la ministre Catherine Colonna pour que la décision algérienne sur le couplet manquant de Qassaman fasse polémique. Jamais en France on n’aura aussi bien compris l’hymne national algérien.