Afin de ne pas laisser l’oubli ni le néant l’ensevelir, notre devoir est de le «ressusciter», du moins, bien sûr, le rappeler au bon souvenir de ceux qui l’ont applaudi et, surtout, apprécié. Trente ans, trois décennies, depuis la disparition du grand Djamel El Okbi, un 15 décembre 1994.