L'annonce selon laquelle Robert Kennedy Jr, candidat indépendant à la présidentielle américaine de novembre, a souffert de graves problèmes de santé en raison d'un parasite dans son cerveau est certainement une révélation surprenante.
Les détails de cette affliction, notamment le fait qu'un ver ait rongé une partie de son cerveau avant de mourir, soulignent l'ampleur des défis auxquels il a dû faire face sur le plan de la santé.
Les séquelles décrites dans la déposition de Kennedy, notamment des problèmes cognitifs et de perte de mémoire, sont profondément préoccupantes, surtout pour quelqu'un aspirant à la présidence. Cependant, selon sa porte-parole, ces problèmes de santé ont été résolus il y a plus de dix ans et il jouit maintenant d'une bonne santé physique et mentale.
Cela suscite des interrogations sur la capacité de Kennedy à exercer pleinement les fonctions présidentielles, surtout en comparaison avec les autres candidats plus âgés comme Joe Biden et Donald Trump. Cependant, la réponse de sa porte-parole met en évidence une tentative de minimiser les inquiétudes en soulignant qu'il est en bien meilleure santé maintenant et en lançant une pique aux autres candidats.
Enfin, la mention d'une intoxication au mercure soulève d'autres questions sur la santé générale de Kennedy et sur les circonstances de cette intoxication. Ces révélations pourraient influencer la perception publique de sa candidature et susciter davantage de discussions sur la santé des candidats dans cette campagne électorale déjà centrée sur ce sujet.