Les petits calculs de commerçants ne tuent pas toujours l’amour pour le livre. Saïd Cherief, ce libraire de Tigzirt, nous confirme bien ce constat. Car, situé sur la grande artère de cette charmante ville, son local aurait pu engranger beaucoup plus de profits avec n’importe quelle autre activité que celle d’une librairie.
L’EPH (Etablissement public hospitalier) de Tigzirt qui couvre une grande partie de la population du flanc nord de la wilaya de Tizi Ouzou, est toujours confronté à un manque de moyens.
Cette compétition sportive a regroupé plus de 500 athlètes venus de 26 wilayas du pays.
Comme chaque année, en été, des animateurs de l’ODEJ, Office des établissements de jeunes de la wilaya de Tizi Ouzou, a mis sur pied des programmes d’information, de prévention contre les accidents qui peuvent se produire durant la saison estivale.
Quelques jours seulement après l’ouverture officielle de la saison estivale, la ville balnéaire de Tigzirt a vibré au rythme de l’animation artistique, histoire d’entamer l’été avec des activités en mesure d’offrir aux citoyens des moments de détente et de relaxation près de la Grande bleue.
La station de dessalement de l’eau de mer d’Iflissen (daïra de Tigzirt), dont les travaux de réalisation de la structure sont achevés, tarde à être dotée d’équipements techniques pouvant assurer sa mise en service.
Il était plein d’énergie mais, soudainement, il devient immobilisé et incapable de marcher sur ses pieds. Âgé d’à peine 08 printemps, Ilyas Cherifi, résidant à Tigzirt et originaire de la commune d’Ait Yahia Moussa, dans la wilaya de Tizi Ouzou, est atteint d’une maladie neurologique qui lui a causé la paralysie de ses membres inférieurs.
L’EPH (établissement public hospitalier) de Tigzirt, qui couvre une grande partie de la population du flanc nord de la wilaya de Tizi Ouzou, est confronté à un manque de moyens surtout pour faire face à l’affluence des personnes contaminées à la Covid-19 et celles qui présentent des complications de séquelles postcoronavirus.