«Les pressions des Etats-Unis sur l’Europe en matière énergétique ont montré qu’elles atteignaient leurs buts, puisque l’Europe s’y est soumise et a renoncé au gaz ainsi qu’au pétrole russes. Les pressions de Trump ont de fortes chances d’aboutir. Les Etats-Unis vont accroître de force leurs parts du marché énergétique européen au détriment des fournisseurs concurrents les plus vulnérables», estime Abdelatif Rebah, économiste.
l Dans le pays, «personne n’est en sécurité et même ce que l’on considère comme une critique légère peut devenir un crime», a déclaré la militante des droits humains.
La Russie a annoncé dimanche avoir demandé pour aujourd’hui une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU sur la situation en Syrie, où une offensive éclair de groupes rebelles menés par des islamistes radicaux ont fait chuter le pouvoir de Bachar al-Assad.
L’évolution des marchés mondiaux de l’énergie et les résultats des récentes négociations sur le changement climatique lors de la COP29, qui s’est tenue à Bakou, en Azerbaïdjan, du 11 au 22 novembre 2024, ont été au centre des discussions entre l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et la Russie, lors d’une rencontre à Moscou, en Fédération de Russie.
«S’ils coupent (l’aide), je pense que nous perdrons», a déclaré le dirigeant ukrainien, Volodymyr Zelensky, lors d’une interview sur Fox News, la chaîne américaine préférée des conservateurs.
Des responsables américains ont indiqué que ces mines «non persistantes» devaient aider à freiner l’avancée russe sur la ligne de front, Kiev s’étant engagé à les utiliser sur son propre territoire et en évitant les zones peuplées de civils.
L’autorisation donnée à Kiev par Joe Biden, pour utiliser des missiles américains à longue portée sur le territoire russe, est de nature à «jeter de l’huile sur le feu» dans le conflit en Ukraine.
Mardi, le haut responsable russe et ex-ministre de la Défense Sergueï Choïgou, a déclaré mardi au chef de la diplomatie chinoise Wang Yi, que leurs deux pays devaient contrer la politique américaine «de double endiguement menée contre la Russie et la Chine par les États-Unis et leurs satellites».
Le rapprochement entre la Russie et la Corée du Nord marque une escalade significative dans les alliances géopolitiques opposées à l'Occident.
Le Kremlin, qui a démenti hier que le président russe, Vladimir Poutine, et le président américain élu, Donald Trump, se soient parlé, estime n'avoir reçu «aucun signal» de l'Occident pour des discussions sur le conflit avec l'Ukraine, rapporte l’AFP.
«Les agents du renseignement militaire ukrainien ont tenté de recruter un pilote militaire russe afin de détourner cet appareil vers une zone contrôlée par les forces armées ukrainiennes», selon le FSB.
Le FBI a indiqué que les menaces «n’étaient pas crédibles». Plusieurs élus pointent la responsabilité de la Russie.
La présence de troupes nord-coréennes en Russie, aux côtés des forces russes près de la frontière ukrainienne, suscite une inquiétude internationale.
Profitant de la visite du vice-président de la Douma de la Fédération de Russie, Vladislav Davankov, le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a invité les entreprises à investir en Algérie dans le secteur minier.
Pyongyang et Moscou, qui «luttent ensemble» contre l’«hégémonie» américaine, ont signé hier un accord de défense mutuelle, a annoncé le président Vladimir Poutine lors de sa visite d’Etat de deux jours en Corée du Nord, selon des propos recueillis par l’AFP.
La Russie a accusé hier les Etats-Unis de vouloir déployer des armes dans l’espace après l’échec d’un projet de résolution russe à l’ONU, rapporte l’AFP.
Il semble qu'une controverse ait éclaté après des propos attribués à Joe Biden lors d'une réunion de campagne, où il aurait qualifié la Chine, la Russie, le Japon et l'Inde de "pays xénophobes". Ces propos, rapportés par des journalistes présents lors de la réunion, ont suscité des réactions et des interprétations diverses.
Plus de 4000 personnes ont été évacuées d'une zone inondée après la rupture d'un barrage vendredi dans la région russe d'Orenbourg, située dans l'Oural, ont annoncé les autorités régionales samedi. L'incident s'est produit alors que la fonte des neiges est en cours.
L’abondance de l’offre émane particulièrement de la Russie, qui prévoit la troisième récolte consécutive importante cette année avec un record de pas moins de 5 millions de tonnes de blé attendus pour le mois en cours. La Russie s’est imposée ces dernières années comme fournisseur incontournable d’un large spectre de clients dans différentes régions du monde.
L'attentat survenu vendredi 22 mars dans une salle de concert près de Moscou a fait au moins 133 morts, selon les autorités russes. Revendiqué par l'État islamique (EI), cet acte terroriste constitue la plus grande attaque en Russie depuis plusieurs décennies, ainsi que la plus meurtrière revendiquée par l'EI en Europe.