Donald Trump a prévu de nommer des proches à des postes-clés de sa future administration, avec notamment des tenants d’une ligne dure face à la Chine, à l’image de l’influent sénateur de Floride, Marco Rubio, pressenti comme prochain chef de la diplomatie américaine.
Des habitants noirs de Caroline du Nord, de Virginie, d’Alabama, et de Pennsylvanie, ont rapporté avoir reçu des SMS anonymes, leur demandant de «se présenter à une plantation pour ramasser du coton».
Le républicain a su incarner la revanche des Américains se sentant déclassés, le conservatisme moral rassurant des millions d’Américains redoutant un progressisme caricaturé associé au «wokisme». Ces Américains qui ne croient pas à une mission particulière des Etats-Unis dans le monde, mais à la nécessité de se recentrer sur la sécurité et la prospérité du peuple américain.
Le président ukrainien espère que son élection aidera l'Ukraine à obtenir une «paix juste».
Kamala Harris, actuelle vice-présidente des États-Unis et candidate démocrate à l’élection présidentielle, a exercé son droit de vote par correspondance pour l’élection de 2024.
Des milliers d’Américaines se sont rassemblées dans les rues de Washington samedi pour soutenir la candidate démocrate et le droit à l’avortement, sujet central de cette campagne présidentielle.
Comme au bon vieux temps de la guerre civile.» La boutade de certains chroniqueurs de l'actualité de ces dernières semaines aux Etats-Unis grossit certainement le trait, mais les événements récents dans l'Etat emblématique du Texas donnent à voir un des effets saillants de la polarisation politique entre démocrates et républicains.
En dépit de l'essor de sa popularité aux États-Unis, la chanteuse Taylor Swift se retrouve au centre des théories complotistes les plus extravagantes sur les réseaux sociaux. Les rumeurs les plus récentes suggèrent qu'elle serait un instrument du Pentagone, recrutée par le Parti démocrate pour influencer les résultats de l'élection présidentielle de 2024.
En ce moment de vœux pour la période de Noël, Donald Trump a exprimé son mépris envers ses détracteurs, allant de Joe Biden au procureur spécial Jack Smith, en leur souhaitant d'« aller pourrir en enfer ».
Joe Biden surprend son monde et lance les paris dans un registre pour le moins inattendu. A moins d’une année de l’élection pour la présidence américaine, prévue le 5 novembre 2024, le candidat démocrate à sa propre succession a tenu, mardi dernier, des propos qui laissent perplexes partisans et adversaires.
Lors d’un discours dans l’Etat-clé de Pennsylvanie, le président américain a défendu ses choix économiques
L’un est jeune, chéri par la droite dure, et vient d’être réélu haut la main à la tête de la Floride. L’autre est septuagénaire, fraîchement inculpé, mais surfe largement en tête des sondages pour l’investiture républicaine.
L’opposition républicaine, qui domine une des deux Chambres du Congrès, a promis de ne pas faire de «chèque en blanc» à Kiev. En outre, sa campagne pourrait être ébranlée par les attaques contre son fils Hunter, dont d’anciennes relations d’affaires risquent de resurgir.