Comme au bon vieux temps de la guerre civile.» La boutade de certains chroniqueurs de l'actualité de ces dernières semaines aux Etats-Unis grossit certainement le trait, mais les événements récents dans l'Etat emblématique du Texas donnent à voir un des effets saillants de la polarisation politique entre démocrates et républicains.
En dépit de l'essor de sa popularité aux États-Unis, la chanteuse Taylor Swift se retrouve au centre des théories complotistes les plus extravagantes sur les réseaux sociaux. Les rumeurs les plus récentes suggèrent qu'elle serait un instrument du Pentagone, recrutée par le Parti démocrate pour influencer les résultats de l'élection présidentielle de 2024.
En ce moment de vœux pour la période de Noël, Donald Trump a exprimé son mépris envers ses détracteurs, allant de Joe Biden au procureur spécial Jack Smith, en leur souhaitant d'« aller pourrir en enfer ».
Joe Biden surprend son monde et lance les paris dans un registre pour le moins inattendu. A moins d’une année de l’élection pour la présidence américaine, prévue le 5 novembre 2024, le candidat démocrate à sa propre succession a tenu, mardi dernier, des propos qui laissent perplexes partisans et adversaires.
Lors d’un discours dans l’Etat-clé de Pennsylvanie, le président américain a défendu ses choix économiques
L’un est jeune, chéri par la droite dure, et vient d’être réélu haut la main à la tête de la Floride. L’autre est septuagénaire, fraîchement inculpé, mais surfe largement en tête des sondages pour l’investiture républicaine.
L’opposition républicaine, qui domine une des deux Chambres du Congrès, a promis de ne pas faire de «chèque en blanc» à Kiev. En outre, sa campagne pourrait être ébranlée par les attaques contre son fils Hunter, dont d’anciennes relations d’affaires risquent de resurgir.