Nadjem Regani, président de la Chambre régionale des notaires de la région Centre, soutient que l’étape actuelle est celle de «la révolution numérique, qui sera un facteur déterminant pour améliorer les services publics».
La Chambre nationale des notaires a décidé, dans un premier temps, de ne pas verser au Trésor public les droits fiscaux des actes d’enregistrement.