Selon l’hydrologue Malek Abdesselam, les précipitations sont certes d’un apport important, mais elles n’impliquent pas une réduction significative des déficits. La bonne nouvelle est que les cumuls hydrologiques enregistrés jusqu’à aujourd’hui sont relativement excédentaires à Bouira, Médéa et Constantine.
La Banque mondiale s’est intéressée cette fois-ci au précieux liquide d’eau douce en période de rareté dans le monde. Dans une étude rendue publique cette semaine, ayant pour thème «La richesse cachée des nations : l’économie des eaux souterraines en période de changement climatique», elle affirme que «les nappes phréatiques sont notre principale ressource en eau douce, notamment en période sécheresse».